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la voix des médias

Ces extraits sélectionnés par le Héraut ne reflètent pas nécessairement la pensée de la Christian Science, mais ils indiquent des avancées intéressantes vers la spiritualité.

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de septembre 2006


REMÈDES: PRIÈRE ET BIBLE

Dans une revue de Washington, il est signalé que dans les moments où notre esprit a besoin d’aide ou de guérison, nous passons souvent à côté des remèdes «simples et certains». Pour permettre de voir à nouveau la vie «par les yeux de Dieu, et non les nôtres», l’auteur de l’article, qui se désole d’entendre dire: «il n’y a plus rien à faire qu’à prier», recommande la prière et la lecture quotidienne de la Bible. Pour ce commentateur en effet «la prière est toujours la première et la meilleure chose pour faire face à toute difficulté, si sévère soit-elle». La prière ne consiste pas seulement à parler à Dieu. C’est aussi un moyen de L’entendre. «Par la prière, Dieu dirige nos pensées et prodigue de l’assurance et des directives.»

The Spokesman-Review (Washington, U.S.A), 24 septembre 2005

L’OPTIMISME EN DEMANDE

Le Monde du 28 février dernier a publié un plaidoyer pressant en faveur de l’optimisme. Nicolas Bordas, président du Groupe TBWA-France, y met en garde contre les tendances négatives qu’il observe dans la société: sinistrose ambiante, nostalgie d’un temps que l’on croyait révolu, «vague chagrine».

Dans le même ordre d’idées, constatant les «sommes mirobolantes des jeux d’argent et de hasard», il dénonce «un peuple drogué aux jeux», qui ne croit pas en lui-même ni en son avenir. Pour souligner les effets désastreux du pessimisme, il emploie cette image: «Mettez-vous face au soleil, il vous réchauffera. Tournez-lui le dos et, ne le voyant plus, vous aurez froid.» «Pratiquer l’optimisme comme un sport démocratique, note-t-il, c’est s’élancer pour un marathon par vents contraires. Mais il le faut. C’est un devoir. La peur est mauvaise conseillère, alors que la confiance est un incroyable moteur.»

Le Monde, 28 février 2006

GUÉRISON PAR L’ESPRIT

Dans son dossier du mois de novembre 2005, intitulé «Quand l’esprit guérit le corps», le magazine Sciences et Avenir s’est penché sur «l’énigme du placebo». Bien qu’étudié en imagerie cérébrale, cet effet, «né de la rencontre réussie entre médecin et malade, qui aide à la guérison», demeure mystérieux, est-il noté.

L’interrogation se prolonge par une interview d’Edouard Zarifian, psychiatre, auteur de «la Force de guérir» qui, face aux résultats des expériences de modifications biologiques sous effet placebo, demande: «Mais quelle est la nature du circuit qui existe entre la représentation psychique de l’attente du malade et la sécrétion de cette substance [substance antidouleur ou réparatrice] par son cerveau? Quelles sont ces voies inconnues par lesquelles le psychisme agit sur certaines zones cérébrales?» Après avoir noté la réticence des médecins occidentaux, Edouard Zafirian conclut que selon lui les médecins tireraient pourtant «un énorme avantage» à poursuivre leur réflexion sur le sujet.

Le dossier de Sciences et Avenir offre en outre l’occasion de rappeler l’effet bénéfique de l’optimisme sur la santé, y compris par des expériences en laboratoire. Effet bénéfique qui est «un classique maintes fois vérifié», puisque Rabelais disait déjà: «Les joyeux guérissent toujours.»

Sciences et Avenir, novembre 2005, p. 62-71

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