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J’ai réalisé que ma pensée devait être centrée sur Dieu et non sur les symptômes physiques.

Nous sommes tous naturellement équipés pour surmonter les désaccords avec compassion, humilité et grâce au lieu de nous accrocher au ressentiment et à l’obstination, qui ne font pas partie de notre véritable nature spirituelle d’enfants de Dieu.

Chers amis, Nous vous écrivons aujourd’hui pour vous annoncer un changement intervenu au sein du Conseil d’administration de la Société d’édition de la Science Chrétienne, et pour vous informer que de nouvelles missions ont été confiées à des personnes travaillant actuellement à L’Eglise Mère. Le 31 décembre 2024, T.

Nous pouvons reconnaître et respecter l’expression de Dieu en chacun, et voir notre unité spirituelle. Ne nous laissons pas tromper par une vision condescendante de notre prochain, mais voyons plutôt que chacun est l’enfant bien-aimé de Dieu.

Dieu n’a pas créé la peur parce qu’Il est Amour.

Ainsi, peu importe ce que vous traversez – que votre discours intérieur semble cruel envers vous-même, que vous ayez du mal à savoir quoi manger pour le dîner ou que vous pleuriez sur le sol de la salle de bain – vous n’êtes pas seul. Dieu est toujours avec vous.

Il est devenu clair pour moi que le type de traitement sexiste que nous avions subi et l’obligation de l’accepter car « c’est ainsi » devaient être affrontés pour le bénéfice de chacune, et pas seulement le mien.

Tous les trois ans, depuis 1907, le Conseil d’Instruction, un auxiliaire du Massachusetts Metaphysical College, tient un Cours Normal destiné à préparer et à autoriser de nouveaux professeurs de Science Chrétienne, comme cela a été prévu par Mary Baker Eddy dans le Manuel de L’Eglise Mère. C’est avec joie que nous vous annonçons que le Cours Normal de 2024 a bien eu lieu et qu’il a permis des réalisations inédites.

Lorsque nous saisissons les vérités spirituelles que l’on trouve dans la Bible et dans Science et Santé, nous voyons plus clairement que Dieu et l’homme sont un.

Bien qu’il ne soit pas toujours facile de percevoir le néant de la maladie, à mesure que nous chérissons, et surtout que nous comprenons, l’infinitude de Dieu, la totalité de l’Esprit et de l’Amour divins, nous demeurons de plus en plus éveillés à la seule réalité de l’harmonie.