Articles originaux web

Le royaume divin qui est en nous – cette conscience de la stabilité que Dieu donne à tous Ses enfants, à Son image et à Sa ressemblance spirituelles – nous permet d’apporter la stabilité dans notre vie et dans le monde, à l’exemple de Jésus.

Le Christ, l’idée spirituelle de l’Amour divin, a chassé les convictions enracinées de la pensée mortelle. Nous avons été témoins de la suprématie de l’Esprit sur la croyance à un pouvoir physique menaçant.

Peu de temps après, papa a enlevé le gant de toilette de mon visage. La blessure s’était déjà complètement refermée. J’étais guéri !

J’ai réalisé que je décrochais parfois dans mes prières à cause de la croyance que je devais connaître et comprendre une vérité bien particulière, ou revenir de mes « mauvaises voies » afin que Dieu m’aime suffisamment pour me guérir. Mais ce n’est pas ainsi que Dieu me voit.

J’ai été complètement libérée de l’angoisse de ces expériences en comprenant mieux, comme le dit le premier chapitre de la Bible, que l’homme – la véritable identité de chacun de nous – a été créé à l’image et à la ressemblance de Dieu.

Lorsque nous sommes disposés à écouter l’inspiration divine, les bénédictions s’ensuivent naturellement.

L’éducation des enfants sous sa forme la plus pure, sa forme spirituelle, ne relève pas de notre seule responsabilité en tant qu’êtres humains. L’art d’être de bons parents consiste à refléter l’action de Dieu, notre divin Père-Mère, notre Parent à tous.

Si Dieu est la source de toute bonté et s’Il est éternel et toujours présent, alors la bonté est partout, tout le temps, et elle est indestructible.

S'engager à exprimer l'Amour divin envers tous, et à discerner la véritable nature de la création de Dieu en tant qu'expression de l'Amour, à l'abri de la haine et de la discrimination, permet de triompher des clivages raciaux et religieux.

Mon mari et moi nous sommes attachés à la vérité selon laquelle l’identité de chaque enfant – de chaque personne – est spirituelle et gouvernée par Dieu, l’Entendement divin. La seule étiquette juste que l’on puisse avoir est celle d’ « enfant de Dieu ».