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J’ai appris que tout ce qui est bon a été créé par Dieu, et que si une chose n’est pas bonne, Dieu ne l’a pas créée ; elle n’a donc pas d’existence réelle.

Cette guérison m’a beaucoup marquée parce que j’avais vraiment écouté Dieu et eu le sentiment qu’Il me parlait.

J’étais reconnaissante d’avoir choisi de suivre un traitement en Science Chrétienne, car cela a élevé ma pensée et a fait toute la différence.

Le pouvoir de guérir n’est pas dans les mots ; la guérison se produit quand l’inspiration nous amène à reconnaître que Dieu est présent avec nous.

J’ai prié pour savoir que le chien était sain et que rien ne pouvait me faire de mal parce que j’étais l’enfant de Dieu. J’aime Dieu parce qu’Il aime tout le monde, les animaux comme les humains.

Quel que soit le comportement de ceux qui nous entourent, l’Amour exige que nos pensées et nos actions soient inspirés par la loi de l’Amour afin de les bénir. En obéissant à l’Amour, nous plaçons notre confiance dans notre Père-Mère, Dieu, qui est à jamais digne de confiance.

Plutôt que des mots spécifiques, ce que l’on écoute vraiment, c’est la voix du bien, l’activité du Christ, la Vérité divine, laquelle est tout aussi disponible dans notre vie et nos activités qu’elle l’était au temps biblique.

Le mercredi suivant, je suis allée chez ma mère. En voyant mon visage, elle s’est exclamée : « Il n’y a rien du tout ! »

Quelles que soient les « pensées de Pilate » d’aujourd’hui – tout ce qui tenterait de s’opposer au pouvoir divin – il ne s’exerce sur nous qu’une seule autorité : la seule et suprême autorité de Dieu, le bien.

Si le regret est un premier pas important vers la réforme, la Bible nous montre qu’au lieu de nous complaire dans la tristesse, nous devons faire un pas de plus en acceptant notre rédemption, en nous soumettant avec humilité à la totalité de l’amour de Dieu qui inclut tout.