
Pour les jeunes
Prendre conscience que Dieu ne me laisse jamais me débrouiller toute seule a totalement changé ma perspective pour le reste de l’année. J’ai constaté que je n’étais plus angoissée avant de passer des examens. Je n’avais plus peur d’être confrontée à quelque chose que je ne maîtriserais pas.
Je me suis sentie de nouveau bien et je suis retournée aux répétitions, sachant que je pouvais me concentrer sur cette pensée : « Comment pourrais-je cesser d’exprimer la joie de Dieu ? ».
Un sentiment de calme m’a envahi, comme une étreinte maternelle, et j’ai su que c’était Dieu qui me garantissait que je pouvais reprendre la route en toute sécurité.
J’ai vraiment compris que mon amie, mon ex et moi étions tous des enfants de Dieu, les enfants de l’Amour, sans blessures émotionnelles ni physiques.
Je jouais avec plus de liberté, car me sentir proche de Dieu signifiait avoir davantage confiance en ma capacité à exprimer les qualités de Dieu, qui sont entièrement bonnes, et qui incluent la puissance, la force, la ténacité, le sang-froid et l’intelligence.
Le secret de la beauté consiste donc à avoir davantage de Dieu dans notre vie ; non pas que nous puissions accroître la présence de Dieu, qui est infinie, mais parce que nous pouvons toujours mieux reconnaître et accepter cette présence.
Je suis reconnaissante d’avoir appris que je peux prier pour les problèmes du monde, et je sais maintenant que mes prières portent des fruits.
Même si la présence de mon ex avait disparu de mon quotidien, l’Amour divin lui-même – la source de l’amour que j’avais ressenti avec lui – ne m’avait jamais quittée.
Si je croyais en un Dieu entièrement bon, alors il s’ensuivait que Dieu assure une place à chacun d’entre nous. Cette place ne dépend pas de bonnes notes ni d’aucune autre loi mortelle liée à la limitation des ressources ou à l’offre et à la demande.
Cette expérience m’a aidé à comprendre l’importance de ne pas rester centré sur moi-même, et de faire de l’amour une composante de mes prières.