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Exercer le gouvernement divin sur le corps

Du Héraut de la Science Chrétienne. Publié en ligne - 14 août 2025


La première fois que j’ai chaussé des skis pour descendre depuis le haut d’une montagne, j’ai eu peur. Et plus je prenais de la vitesse, plus j’avais peur. La technique que j’avais apprise en m’entraînant sur la piste pour débutants ne servait à rien sur la pente raide. J’avais besoin d’aide. Pour reprendre le contrôle, j’ai décidé de me pencher sur le côté afin de tomber, et j’y suis parvenu sans dommage. J’ai alors demandé conseil à un skieur chevronné près de moi. Il m’a montré comment on peut s’arrêter sur une pente raide. Faire du ski est devenu tout à coup beaucoup plus plaisant !

Ma première descente à ski m’a appris une précieuse leçon sur la maîtrise du corps. Lorsque je dévalais la piste avec les bras ballants et des skis rebelles, j’avais l’impression de ne plus rien maîtriser et c’est l’image que j’en donnais. Or, je n’étais pas dans une situation incontrôlable, j’agissais par peur et ignorance. Il me fallait corriger ma pensée. Lorsque j’ai remplacé la crainte et l’ignorance en comprenant comment maîtriser mes skis afin d’obtenir de meilleurs résultats, l’image d’un skieur incontrôlable a disparu. J’exerçais la domination sur mon corps.

La même leçon s’applique chaque fois qu’on semble perdre le contrôle de son corps. Un organe dysfonctionne, la pression artérielle est trop élevée, un muscle se contracte, une maladie survient, puis on peut avoir le sentiment de ne plus pouvoir contrôler son corps. Pourtant en vérité le corps n’est jamais incontrôlable, car il manifeste l’état de pensée qui le gouverne, quel que soit cet état de pensée. Si la peur domine la pensée, il est possible que le corps se crispe et que l’on ait l’impression que l’état du corps est imprévisible. Si le calme prévaut, il est plus facile d’exercer sa domination. Le corps répond à la pensée de la même manière qu’un véhicule répond à celui qui le conduit. Lorsqu’on appuie à fond sur la pédale d’accélérateur d’une voiture, sa vitesse augmente. Si on appuie sur le frein, la voiture ralentit. Si l’attention du conducteur se relâche, la voiture dévie. Le corps se gouverne de la même façon qu’une voiture répond aux ordres qu’on lui donne.

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