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Je ne devais plus me reposer sur un corps matériel fragile, mais je pouvais m’appuyer sur un soutien permanent, stable, puissant, toujours présent : Dieu. J’ai alors compris que ma seule véritable force était Dieu, et non mon dos.

 Je pensais que faire la paix signifiait désamorcer les conflits, être un médiateur en cas de désaccords, calmer les esprits froissés…

La loi de Dieu, le bien, anéantit totalement le mal et détruit ses machinations.

Les sentiments négatifs se sont dissipés, et j’ai commencé au contraire à voir cette collègue sous un jour différent et à l’apprécier en tant qu’enfant de Dieu comme moi, et donc en tant qu’expression de Son intelligence et de Sa sagesse.

Même si la présence de mon ex avait disparu de mon quotidien, l’Amour divin lui-même – la source de l’amour que j’avais ressenti avec lui – ne m’avait jamais quittée.

L’étape qui culmine finalement dans l’élimination de toute souffrance et de toute tristesse est la réalisation de l’irréalité totale de l’offense qui nous avait autrefois semblé si réelle.

En y repensant, je me rends compte que Dieu m’a toujours aimée, qu’Il a pris soin de moi et a dirigé ma vie.

En réalité, le seul pouvoir qui gouverne est celui de l’Amour divin.

Tout au long de cette expérience, j’ai ressenti une profonde paix, sachant que la vie de notre fille était toujours entre les mains de Dieu, l’Amour, et qu’elle ne pourrait jamais être privée de Sa sollicitude.

Christ Jésus définit le modèle de notre unité avec Dieu lorsqu’il déclare : « Moi et le Père nous sommes un. » (Jean 10:30) Nous pouvons tous prendre conscience de notre unité avec Dieu – cette sorte d’unité dont Jésus fit l’expérience.