Articles originaux web
Original en portugais
Parce que je comprenais que Dieu est la source de tout bien, je savais que je ne pouvais être privée de ce dont j’avais besoin.
J’avais besoin de me concentrer sur le fait de partager ma lumière. J’ai réalisé qu’en tant qu’expression de Dieu, je ne pouvais jamais me sentir intérieurement vide ou triste. Je brille de la lumière de Dieu !
J’avais demandé à Dieu une idée nouvelle, et Il avait pleinement répondu à ma prière !
Lorsque nous prions, nous pouvons déclarer catégoriquement que les « lois » du vieillissement et de la décrépitude sont rendues nulles et non avenues par la loi de Dieu, l’Entendement infini.
En nous rappelant que la Vie est Tout, nous pouvons affronter avec courage et constance les défis qui se présentent à nous.
La prétention que j’étais une mortelle souffrante n’était ni légitime, ni vraie, ni réelle. Dieu, l’Amour divin, m’aimait et je L’aimais, c’était là une vérité toujours présente, chassant naturellement toutes les pensées erronées pour les remplacer par le message réconfortant de l’Amour.
J’ai écrit un poème qui décrit comment les animaux et nous-mêmes exprimons les qualités de Dieu. Aujourd’hui, je partage ce poème avec toi.
Original en portugais
Acquérir un sens nouveau du but de la vie est possible pour tout le monde. Comme Abraham, Israël et Paul, nous pouvons dire oui au nouveau sens spirituel de nous-mêmes, et l’accepter avec humilité et gratitude.
Je priais quotidiennement, en particulier pour comprendre, pendant le déluge, ce qu’est la protection de Dieu. En repensant à cette situation, je réalise l’amour incommensurable que Dieu a pour moi, et ma gratitude est immense. L’Amour divin répond vraiment à nos besoins !
Publié à l’origine en anglais dans le Christian Science Journal de juillet 2020
Etant comptable de profession, et donc bien plus à l’aise avec les nombres qu’avec les mots, je n’ai eu aucune peine à trouver des excuses pour éviter d’écrire pour les périodiques de la Science Chrétienne. Cependant, il m’est devenu difficile d’ignorer la pensée insistante selon laquelle je pourrais au moins essayer d’écrire pour ces magazines.