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J’ai réfléchi à la notion de « crainte humaine », et j’ai réalisé que ce qui m’arrivait semblait être le produit de la peur. J’ai donc quitté la mer agitée de la crainte. Elle n’avait jamais été la vérité de mon être, et je l’ai traversée dans l’attente de la « joie promise. »
Quelle que soit la façon dont les turbulences du monde, géopolitiques, économiques, météorologiques ou pandémiques, soufflent, on peut recourir à cette prière puissante : « Arrêtez, et sachez que je suis Dieu. » (psaume 46:10)
Lorsque chacun de nous se gouverne lui-même selon les lois divines du bien, il contribue à renforcer le gouvernement juste, où l’Amour divin nous guide et nous bénit tous.
Je me suis souvenu que Dieu dressait une table devant moi face à ces craintes et, à cet instant, il m’a semblé parfaitement clair que ma vie ne dépendait pas d’un cœur.
Je savais que ma paix et mon autorité venaient directement de Dieu, l’unique Entendement et la source de toute vie et de toute intelligence. On ne pouvait ni les ébranler ni me les enlever.
Je me suis senti plus confiant dans le fait que la prière individuelle élève et spiritualise l’atmosphère mentale collective du monde et fait ainsi du bien à l’humanité.
Depuis l’époque de Moïse, le concept de loi est un élément essentiel de la Bible. Plus que de simples règles ou des directives éthiques, la loi divine est présentée comme le fondement et la structure mêmes de l’existence.
Quand, telle une mère, le Christ nous réveille du cauchemar du péché et de la maladie, nous discernons la futilité et l’impossibilité totales du mal, et l’importance, la présence, le pouvoir et la vérité éternels du bien.
L’église établie par Jésus repose sur un fondement de transformation et de guérison spirituelles, ce qui me fait mieux comprendre sa raison d’être.
Durant le service, j’avais retrouvé mes facultés mentales et la maîtrise de la parole.