En Afrique, il est très important de pouvoir puiser aux sources de la spiritualité profonde du peuple, ce qui implique d'être en harmonie avec ce que Kiatezua Lubanzadio Luyaluka appelle « le penser-Ame ».
Mais que penser de la sorcellerie ? M. Luyaluka, qui est professeur et praticien de la Christian Science à Kinshasa, en République démocratique du Congo, est catégorique: « En Afrique, quand on aide une personne par la Christian Science, il faut traiter la croyance à la sorcellerie. » Quand on parle avec M. Luyaluka, on se rend compte de l'extraordinaire diversité des membres de la famille humaine. Or, où que l'on soit, il faut rencontrer les gens là où ils sont. La propagation et la prospérité de la Christian Science parmi les hommes pourrait bien emprunter des voies propres à chaque époque, à chaque lieu et à chaque peuple.
« J'ai connu la Christian Science à Mbandaka », m'a raconté M. Luyaluka, lors d'une paisible journée d'automne à Boston, l'année dernière. Mbandaka est une ville qui possède un port de pêche et un chantier naval, au bord du fleuve Congo, dans l'ouest de la République démocratique du Congo.
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