Le «grand rêve australien», comme dans d'autres pays du monde, c'est être propriétaire, et cet objectif est réalisable pour bon nombre de gens qui sont préts à travailler dur pour y arriver. Cependant, il y a d'autres personnes qui n'ont guère l'espoir de trouver le foyer auquel elles aspirent: certaines ne peuvent se permettre d'assumer un loyer qui augmente sans cesse; d'autres vivent dehors, sans un toit au-dessus de leur tête, et d'autres encore sont apatrides ou déracinées. Certaines populations ont été dépouillées de leur habitat et de leurs terres traditionnels et d'autres sont réfugiées, obligées de laisser derrière elles leur foyer pour échapper à l'intolérance, au racisme, à la guerre et à la terreur, ou encore à une catastrophe géographique.
Pour la plupart des gens, le foyer représente la sécurité, un refuge, un espace privé, un endroit où trouver la paix. Il est impensable que quiconque soit privé de nourriture, d'eau, de vêtements ou d'abri, et c'est pourquoi de nombreuses personnes dans le monde entier travaillent ferme pour assurer à tous ces éléments de base. Ce n'est pas une tâche facile, mais je crois sincèrement que, quelle que soit la gravité de la situation, il est possible pour chacun d'entre nous de trouver un «chez soi».
Dieu vous a donné le droit de vivre en paix et en sécurité. Tout comme mon ami, tout comme moi, vous pouvez trouver un endroit pour vivre, un endroit où vous direz «c'est chez moi !»
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