L’autre jour, le téléphone a sonné et un ami m’a crié dans les oreilles: « Je ne supporte pas ce travail ! Si je dois travailler là un jour de plus, c’est que Dieu n’existe pas. »
Il se sentait pris au piège. Comme la plupart des gens, il a besoin de travailler. Il est père de famille et prépare un diplôme universitaire. Son emploi n’est pas dans sa branche, mais il lui permet de payer les factures. Mon ami est si fatigué à la fin de la journée qu’il n’a plus beaucoup d’énergie pour étudier. C’est un cercle vicieux.
Je me souviens de mon premier job quand j’étais en faculté. L’entreprise qui m’avait embauché commençait à entrer toutes ses archives sur ordinateur. Or tout devait d’abord être enregistré sur microfilm. Alors, au début de la journée, je prenais un tiroir rempli de dossiers. J’ôtais les agrafes et je plaçais une feuille de papier vert entre chaque fiche. C’était tout. A la fin de la première journée, j’ai vu la pièce où on gardait les dossiers. Il y avait des classeurs sur des rangées entières.
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