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Lorsque Mon Mari et moi...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de novembre 1995


Lorsque Mon Mari et moi avons su que j’attendais un enfant, nous avons aussitôt fait appel aux services d’une praticienne de la Science Chrétienne afin qu’elle nous aide pendant la grossesse et à la naissance. Nous avons étudié les vérités spirituelles présentées par notre livre d’étude, Science et Santé de Mary Baker Eddy, et parlé régulièrement avec la praticienne.

Nous nous sommes attachés au fait que l’enfant était une idée spirituelle de Dieu, qui n’avait pas une origine humaine, et que toutes ses qualités provenaient de Dieu, notre Père-Mère. Comme il était bon de comprendre que Dieu était le Père véritable de chacun de nous !

J’ai pu trouver un médecin qui acceptait notre décision de nous appuyer sur le traitement par la Science Chrétienne, et a bien voulu nous laisser aborder chaque situation par la prière. Au cours d’une visite mensuelle, elle pensa que j’avais une infection de la vessie. Elle souhaitait me prescrire des médicaments, mais je lui ai assuré que nous traiterions efficacement le problème grâce à la Science Chrétienne. Nous avons aussitôt appelé la praticienne pour lui faire savoir ce qu’avait déclaré le médecin. Ensemble, nous nous sommes fermement attachés au fait que l’être véritable de l’homme n’est pas matériel, que l’homme ne saurait souffrir d’une infection puisqu’il est l’enfant parfait de Dieu. Il n’a même pas été fait allusion à l’infection lors de la visite suivante: il n’en restait plus aucune trace. Mon mari et moi avons reconnu là le résultat pratique de nos prières, et notre gratitude était grande.

Une autre difficulté s’est présentée et, cette fois-ci, à propos de mon groupe sanguin. Le médecin estimait que je devais me faire faire une piqûre afin que mon sang ne nuise pas au bébé. J’ai considéré le fait que l’homme créé par Dieu est parfait en toutes choses et qu’une idée divine ne saurait transmettre quoi que ce soit de nuisible à une autre, parce que nous reflétons tous la bonté de Dieu. Tout ce qui vient à l’homme lui vient directement de Dieu, et de Dieu seul. J’ai aussi pensé à la femme atteinte d’une perte de sang qui fut guérie par Jésus (voir Matth. 9:20–22).

Après avoir réfléchi plusieurs jours afin de savoir si je devais accepter cette piqûre pour apaiser les craintes du médecin, j’ai essayé à plusieurs reprises de fixer un rendez-vous en sachant bien qu’une piqûre ne pouvait faire de tort ni à moi ni au bébé. Mais il semblait impossible d’obtenir un rendez-vous. Mon mari et moi en avons déduit qu’il ne convenait pas de faire faire cette piqûre, et nous avons décidé d’y renoncer. Le problème de la compatibilité sanguine n’a plus été mentionné pendant toute la grossesse.

Lorsque j’ai commencé à avoir des contractions et que nous nous sommes présentés à l’hôpital, le personnel était occupé avec d’autres cas et on nous a laissés seuls pendant un bon moment. Mon mari a alors appelé la praticienne pour lui dire que les douleurs semblaient devenir très violentes. Elle lui a lu ce qu’écrit Mary Baker Eddy dans Science et Santé au sujet de l’obstétrique de la Science Chrétienne: « Pour aider comme il convient la naissance du nouvel enfant, ou idée divine, vous devriez tellement détacher la pensée mortelle de ses conceptions matérielles que la naissance sera naturelle et sans danger » (p. 463). La praticienne a réfuté la douleur et affirmé que « ... l’homme est l’image et la ressemblance de Dieu en qui toute existence est permanente et exempte de douleur » (ibid., p. 414). Mon mari et moi avons chanté des cantiques et parlé de la totalité et de la présence constante de Dieu. La douleur a disparu à un point tel que je ne me rendais même plus compte que j’avais des contractions.

Au bout de plusieurs heures, le docteur et les infirmières se sont inquiétés de ce que le bébé ne soit pas encore là. Mais, de même que nos prières, le travail progressait. A la naissance de notre fils, on a constaté que le cordon ombilical s’était enroulé autour de son cou, mais le bébé était en parfaite santé et je l’ai bientôt serré dans mes bras. Le personnel de l’hôpital était très surpris qu’aucun médicament n’ait été nécessaire pendant l’accouchement. On nous a assuré que c’était la première naissance, en près d’une année, qui s’était passée sans aucun médicament. On a aussi été étonné de constater que l’accouchement se soit passé sans douleur et on a remarqué que j’avais été capable de plaisanter tout au long du processus.

Je suis vraiment très reconnaissante de connaître la Science Chrétienne et de pouvoir prouver son efficacité.



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