Il Y A cinq ans, j’ai eu une guérison qui m’a donné la preuve de la sollicitude de Dieu. Cela s’est passé à la naissance de mon deuxième enfant.
Il me faut tout d’abord préciser que, lors de ma première grossesse, j’avais appris que la prière pour un accouchement implique bien plus que la guérison des maux physiques. Avant cette première naissance, j’étais assez naïve pour ne pas connaître les prétentions matérielles agressives attribuées aux contractions et à l’accouchement. Je savais désormais qu’afin de confier mon bien-être à Dieu, je devais me tenir prête à éliminer, grâce à la prière, les suggestions selon lesquelles nous sommes parfois impuissants face à certaines situations et à certains états physiques, comme si Dieu était trop loin pour nous aider.
Aussi, lorsque je me suis aperçue que j’étais de nouveau enceinte, j’ai décidé de prier avec ferveur sans attendre. Je me suis lancée avec enthousiasme dans une étude spirituelle qui n’avait rien de contraignant. Au cours des premiers mois j’étudiais chaque soir, car je devais surmonter des problèmes de nausée. Une citation m’a particulièrement aidée: « Rien de ce qui est évident aux sens matériels ne peut m’empêcher de voir la preuve scientifique que Dieu, le bien, est suprême » (Écrits divers de Mary Baker Eddy, p. 277). J’ai ainsi mieux compris la portée pratique du commandement: « Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face. »
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