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GUÉRISON D'UNE INFECTION

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de janvier 2007


L'été dernier, après avoir nettoyé la végétation qui envahissait la colline derrière la maison, j'ai rapidement constaté que mes bras et mes jambes avaient été infectés par le contact avec une plante de la région, le sumac, connue pour produire de graves inflammations. Dès que j'ai remarqué l'irritation sur un de mes bras, j'ai commencé à prier pour moi-même. Prier Dieu pour obtenir la guérison de difficultés physiques, quelle qu'en soit la nature, a été mon choix de soins depuis près d'une trentaine d'années, et cela s'est révélé très efficace. Faire confiance à mon Créateur comme Médecin est une conséquence naturelle de la relation intime que j'entretiens avec Lui.

J'ai reconnu le gouvernement constant et harmonieux de Dieu sur toute Sa création, ce qui incluait naturellement tous les évènements de ma vie, et excluait tout ce qui pourrait venir déranger ma paix, y compris une irritation dans mes pensées, dont je gardais le souvenir.

La Bible dit que « Dieu vit tout ce qu'il avait fait; et voici, cela était très bon. » (Genèse 1:31) J'ai réfléchi profondément au fait que chaque plante sur la colline exprimait la bonté de Dieu, Sa grâce, l'amour, la paix, l'harmonie et la beauté. Et je me suis souvenue d'une phrase de Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy: « ... rien d'inharmonieux ne saurait pénétrer l'être, car la Vie est Dieu. » (p. 228) J'ai affirmé que ni les plantes, ni moi-même, ni rien dans le royaume de Dieu ne pouvait jamais posséder, transmettre ou recevoir quoi que ce soit de vénéneux, parce que nous avons tous été créés par Dieu, qui est entièrement bon.

Toutefois, pendant les quatre jours suivants, la situation a empiré et deux grosses taches noires, assez inquiétantes, sont apparues sur une de mes jambes. J'avais entendu des histoires parlant de complications sérieuses suite au contact avec le sumac, et j'ai commencé à avoir peur. Alors j'ai appelé un praticien de la Science Chrétienne afin qu'il me soutienne par la prière, et j'ai ressenti un grand réconfort lorsqu'il s'est fidèlement attaché à la vérité absolue que j'étais l'enfant de Dieu.

Je savais, parce que Dieu est Amour, que la substance de ma vie en tant qu'enfant de Dieu était l'Amour, et qu'il n'existe pas de poison dans l'Amour. Le praticien m'a rappelé cette affirmation que l'on trouve dans Science et Santé: « La Vérité éternelle détruit ce que les mortels semblent avoir appris de l'erreur, et l'existence réelle de l'homme en tant qu'enfant de Dieu est mise en lumière. » (p. 288-289) Il a aussi partagé avec moi cette idée que, pour l'homme, l'Amour est ce que la peau est pour le corps. J'étais enveloppée d'Amour.

Lorsque j'ai fait appel au praticien, j'ai également demandé à des nurses de la Science Chrétienne, à différents moments, de m'aider à nettoyer et à bander les zones infectées. Leur pensée spirituelle pure et leur assistance pratique, pleine de tendresse, m'ont été d'une aide inestimable. Je continuais à sentir que j'étais enveloppée dans l'Amour. Et, au cours de cette expérience, grâce à la prière seule, les démangeaisons initiales ont beaucoup diminué, jusqu'à ne plus constituer de véritable problème.

L'inspiration chrétienne du praticien a été très encourageante. La guérison était évidente et, après un peu plus d'une semaine, j'ai acquis l'assurance que je pouvais à nouveau prier seule pour moi-même. Toutefois, j'ai réalisé que je ressentais toujours beaucoup de crainte concernant les taches sur ma jambe: j'avais peur que la menace qu'elles représentaient soit plus puissante que la volonté de Dieu, qui est le bien. Il m'était également pénible de me tenir sur l'une de mes jambes plus de quelques minutes.

C'est alors que j'ai lu ce passage de Science et Santé: « La profondeur, l'étendue, la hauteur, la puissance, la majesté et la gloire de l'Amour infini remplissent tout l'espace. Que peut-il y avoir de plus ! » (p. 520) Je pouvais sentir mon unité avec Dieu, et cet Amour divin pur qui remplissait complètement mon corps tout entier. Par conséquent, ai-je conclu, il ne pouvait y avoir de place pour une quelconque infection. Cette vérité était encourageante.

Cependant, quelques jours plus tard, j'étais toujours incapable de me tenir debout plus de quelques minutes sans ressentir de douleur. Me tournant à nouveau vers Science et Santé, j'ai trouvé ce passage: « Un état mental de propre condamnation et de culpabilité ou une foi chancelante qui doute de la Vérité sont des conditions impropres à la guérison des malades. » (p. 455) À l'instant même, j'ai fermement accepté de me confier à la Vérité (Dieu) et de reconnaître qu'un Dieu plein d'amour me gouvernait sans équivoque, moi – Son enfant – et toute Sa création, de façon harmonieuse. Il ne permettait à aucune irritation, ni culpabilité, ni poison, ni maladie, de pénétrer dans Sa création bien-aimée, toujours bonne.

Le matin suivant, je marchais libre et exempte de toute douleur, et le problème a été totalement guéri en deux semaines environ. Je suis immensément reconnaissante envers Dieu pour Son pouvoir de guérison.


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