Un enfant épileptique guéri. Une femme qui retrouve la santé après avoir souffert d'une hémorragie pendant douze ans. Un homme né aveugle qui voit pour la première fois. Une main déformée complètement guérie. Il y deux mille ans, Jésus a obtenu ces guérisons, ainsi que beaucoup d'autres, parce qu'il comprenait la nature de Dieu, l'Esprit, et le fait que nous sommes créés à la ressemblance de l'Esprit. Aujourd'hui, des guérisons spirituelles similaires ont encore lieu, et nombre d'entre elles sont relatées dans cette revue et dans les autres périodiques de la Science Chrétienne. Devant ces guérisons, on ne peut s'empêcher de remettre en question des théories admises depuis longtemps sur la nature même de la matière.
De nos jours, en fait, les scientifiques remettent plus que jamais en question les théories sur la matière, notamment la théorie du big bang. Par exemple, dans un article publié il y a quelques années, dans un magazine intitulé Natural History, le physicien Alan H. Guth constatait: « ... la théorie du big bang n'a jamais été réellement la théorie d'un grand bang. Elle en décrit les conséquences: l'expansion continuelle de l'espace à mesure que la matière qui compose l'univers s'éparpille. Or, la théorie ne dit rien de ce qui a provoqué cette dilatation spectaculaire. Elle ne donne même aucun indice sur ce qui a fait bang, sur la cause du phénomène ou sur ce qui s'est passé avant. » (« Genesis: The Sequel » [Genèse: la suite], février 2000)
Si les atomes ne sont pas à l'origine de la création, il faut donc qu'il y ait autre chose qui nous fasse exister, et ce pouvoir créateur doit être une forme de quelque chose autre que la matière.
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