Nombreux sont ceux que la catastrophe en Asie a incités à un réexamen de valeurs éternelles.
Dans la Croix du 27 janvier 2005, la Tribune des lecteurs cite Amir Piliang, un journaliste de Kompas, journal de Djakarta, déclarant: «La catastrophe a ouvert un espace de conscience commun. ll n’existe plus de cloisons entre individus... les mains se tendent pour un avenir meilleur.» Le même article précise ensuite que «les images du désastre réveillent une dimension spirituelle et de réflexion sur l’existence.»
Et dans l’hebdomadaire Réforme du 6-12 janvier 2005, Antoine Nouis écrit: «Le Dieu de l’Évangile est un Dieu de vie, un Dieu de guérison qui apaise les tourments et calme les tempêtes, pas le Dieu de la mort et de la destruction. Il est avec l’humain dans son combat contre le mal et non avec le mal contre l’humain.» Plus loin, l’auteur de l’article rappelle que selon Camus, «la confrontation avec l’absurde conduisait à la révolte puis à l’amour.»
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