A toute l'équipe du Héraut,
Après avoir reçu le Héraut de janvier 2005, je me suis dit qu'il y avait un changement intéressant dans la conception. Il me donne une impression de plus grande sobriété.
Le lendemain matin, juste après m'être levée, je ne me sentais pas bien du tout. Je n'arrivais pas à me concentrer. Nous étions la veille de Noël et en cette période, mon attention fut attirée par l'article «Tous poussés à avancer» de Luisella Jaques-Deraney. Au fur et à mesure que je lisais, je me sentais mieux, et à la fin de la lecture, le problème semblait s'être volatilisé. Dans ce cas précis, cela représentait beaucoup pour moi.
J'ai trouvé aussi digne d'intérêt, et joliment structurée et racontée, l'analyse de Thomas de France «Rien ne vaut une belle histoire». C'était pour moi une belle veille de Noël.
Je tiens à ajouter encore que j'ai été amenée à relire plusieurs fois, pour la qualité du travail métaphysique, l'article de Rebecca Odegaard.
Je souhaite au Héraut une année fructueuse.
Jumet, Belgique,
D'un lecteur de Grande Bretagne
traduit de l'anglais
Dans mon pays, l'Angleterre, des amis peuvent se demander pourquoi je prends la peine de lire un magazine de la Christian Science en français, alors que d'autres périodiques existent dans ma propre langue, tels que le Journal et le Sentinel... Depuis que j'ai pris ma retraite, j'apprends le français et j'ai trouvé dans le Héraut une source d'encouragement et un outil qui m'a fait progresser par bonds... Lorsque je lis en français, je dois faire un effort pour saisir pleinement le sens des mots. Ainsi je sens que j'étudie soigneusement, comme le recommandait Mary Baker Eddy. Tout en démêlant les complexités d'une nouvelle langue, je suis en train d'acquérir des vues nouvelles de la signification spirituelle des écrits de la Christian Science à travers la lecture du Héraut.
Newport, Angleterre
