Il y a un certain nombre d’années, j’ai passé deux semaines sur une petite île du nom de Salt Cay, aux Antilles. Chaque soir, l’électricité était coupée vers vingt heures. La petite maison que je louais était située dans une zone isolée, en dehors de la ville. Lors de la première nuit de temps couvert, j’ai appris ce qu’était l’obscurité profonde. Il fait véritablement noir lorsqu’on ne peut même pas distinguer sa main placée devant son visage. Je ne voyais absolument rien. J’étais reconnaissant d’avoir une grosse bougie sur la table du salon.
Plus tard ce soir-là, après m’être promené sur la plage avec une lampe de poche, j’ai éteint cette dernière et je me suis retourné pour regarder la maison. On voyait très bien la lueur de la bougie dans la maison. Je me souviens d’avoir pensé: «Un hémisphère entier d’obscurité ne peut absolument pas réduire cette lumière. En fait, plus il fait sombre, plus la lumière est intense. Tout le pouvoir est du côté de la lumière.»
Depuis, cette pensée toute simple a constitué un pouvoir spirituel dans mon existence. Elle me rappelle fréquemment l’étoile de Bethléem que je vois sur les cartes de Noël qui arrivent en cette période de l’année. Tout le pouvoir est du côté de la lumière. Le présent, l’avenir, même le passé, sont définis par cette lumière. Cette lumière spirituelle, c’est l’éclat de l’Amour divin, de Dieu, de l’Esprit. Son message est simple et clair: «Je suis avec toi.» Le pouvoir de l’Amour divin est là. Il agit maintenant. Il brille dans notre vie, dans notre conscience, maintenant. Ce message est le Christ éternel qui guérit et sauve tous ceux qui se tournent vers cette lumière et qui écoutent son message.
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