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«Arrêtez, et sachez que je suis Dieu»

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de décembre 2005


Après avoir proposé d’organiser chez moi une réception pour un ami de la famille, j’ai commencé à me sentir stressée devant le nombre de choses à faire. Je n’ai jamais reçu beaucoup de monde, et j’avais quelques inquiétudes quant à mes capacités d’hôtesse – sans mentionner le peu de temps dont je disposais pour les préparatifs. Afin de ne pas me laisser déborder, j’ai donc préparé un emploi du temps qui devait être suivi à la lettre.

La fête prévue pour le dimanche. Le vendredi après-midi, alors que je versais de l’eau bouillante dans un récipient en verre, celui-ci a explosé, projetant sur moi des morceaux de verre et m’aspergeant d’eau bouillante. Mes jambes ont été gravement brûlées. La douleur était très vive, et j’ai vu à la fois le week-end et tout ce que j’avais prévu s’écrouler sous mes yeux. Dans ce genre de situation, j’ai l’habitude de me tourner vers Dieu. J’ai constaté qu’Il est «un secours qui ne manque jamais dans la détresse», comme il est dit dans la Bible (Psaume 46:2). Cette promesse n’implique pas simplement du réconfort, mais aussi la guérison. Dans ce cas cependant, je ne me sentais pas capable de prier pour moi-même, et j’ai appelé une praticienne de la Christian Science pour avoir de l’aide. Je voudrais bien pouvoir dire que les choses ont commencé à aller mieux à partir de ce moment-là, mais la praticienne n’était pas chez elle et je me suis retrouvée sur le canapé du salon, à m’apitoyer sur mon sort. J’en serais certainement restée là, si je n’avais pas eu cette pensée qui a coupé court à tout attendrissement sur moi-même. C’était une phrase de la Bible, mais je l’ai entendue comme si Dieu me parlait directement. «Arrête, ai-je entendu, et sache que je suis Dieu.» (voir Psaume 46:11)

Ce message avait différentes implications pour moi. En me préparant pour la réception, je m’étais laissée entraîner dans une frénésie mentale, et l’injonction «Arrête» me rappelait que je pouvais me calmer et cesser de m’inquiéter à propos de ce que cette fête pourrait révéler sur mes capacités d’hôtesse. La seconde partie, «sache que je suis Dieu», était l’assurance qu’il existait une force plus puissante que mes propres idées quant à ce qui devait se produire. J’aimais l’idée que le pouvoir de Dieu surpassait le temps, les programmes, et tout ce qui pourrait mettre des barrières à la bonne marche naturelle de cet évènement.

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