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Article de couverture

LE TEMPS D'UN SECOND REGARD

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de septembre 2008


Un matin tôt, alors que je regardais par la fenêtre de la cuisine vers le petit étang qui se trouve à l’arrière de notre jardin, j’ai vu ce que je pensais être un petit ourson noir. Stupéfaite par cette présence inhabituelle, j’ai continué à regarder et, à mesure que le soleil se levait, et que l’animal bougeait, je me suis aperçue qu’il ne s’agissait pas d’un ours mais d’un gros chat noir !

Combien de fois, un deuxième coup d’œil nous révèle quelque chose qui va modifier notre impression initiale !

J’ai eu récemment une guérison qui a mis ce point en lumière. Sans raison apparente, le contour d’un de mes yeux s’était mis à enfler, et quelques jours plus tard, cet œil a commencé à me faire mal et à couler. L’étude de la Science Chrétienne m’avait appris qu’un scénario physique comme celui-là se soigne en fait par un changement mental, effectué par la prière. C’est pourquoi j’ai demandé à Dieu de me diriger vers la pensée de guérison dont j’avais besoin. Et puis j’ai écouté. Dans le Sermon sur la Montagne, que j’avais alors étudié chaque jour, mon attention a été attirée par une instruction particulière. Jésus dit en ce qui concerne le fait de juger autrui: « Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l’œil de ton frère, et n’aperçois-tu pas la poutre qui est dans ton œil ? » Puis il a donné l’ordre suivant: « Ôte premièrement la poutre de ton œil, et alors tu verras comment ôter la paille de l’œil de ton frère. » (Matthieu 7:3, 5) C’est par l’examen de notre état mental, et non par un ensemble de prières prédéfinies s’appliquant à des maux particuliers, que commence la guérison par la Science chrétienne; pourtant de prime abord, la description évoquée par ces versets cadrait de façon évidente avec la sensation que j’éprouvais, car j’avais en effet l’impression d’avoir un corps étranger dans l’œil. Or, il m’apparaissait que l’admonestation de Jésus visait des critiques, et ne concernait pas un œil enflé, et j’ai donc décidé que ce n’était pas le message de guérison dont j’avais besoin. Je ne pensais pas en effet être coupable de voir quelque chose de fautif dans l’action de quiconque, ou de juger qui que ce soit. J’ai décidé que je devais avoir besoin d’autre chose afin de voir la guérison se produire, et j’ai donc continué à prier et à écouter.

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