ll y a deux ans, un ami me décrivit le traitement contraignant qu'il avait dû subir pour un cancer de la prostate. Peu de temps après, un autre ami (qui avait lui aussi fait face au même problème) me recommanda de passer des tests médicaux pour m'assurer que je n'étais pas affecté par cette maladie. Je lui répondis que j'abordais la santé sous l'angle spirituel, et que je m'appuyais sur la prière scientifique, enseignée par la Science Chrétienne.
Je fis alors un effort tout particulier pour éliminer ces images mentales que mes amis avaient décrites, notamment leur conviction qu'à partir d'un certain âge les hommes sont susceptibles d'avoir ce problème. Néanmoins, environ deux semaines plus tard, je commençai à ressentir les symptômes qu'ils avaient décrits, y compris une forte douleur.
Je pris la décision de ne pas avoir recours à un diagnostic médical, en me rappelant un conseil de Mary Baker Eddy dans son livre Science et Santé, p. 370: « Le diagnostic physique de la maladie — puisque l'entendement mortel est forcément la cause de la maladie — tend à produire la maladie. »
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