Monique faisait sans doute partie des petites filles les plus heureuses du monde. Elle aimait tout: aller à l'école du dimanche, confectionner des gâteaux et en particulier jouer avec sa peluche préférée. Surtout, elle aimait tant les membres de sa famille qu'elle les couvrait de bisous tout au long de la journée.
Un soir, en attendant que sa maman vienne la border dans son lit, Monique eut une pensée très triste qui lui fit peur. Quand sa maman entra dans la chambre, Monique la serra très fort dans ses bras en disant: « Je ne veux pas te quitter. Je ne veux pas que tu t'en ailles. »
Sa maman sut tout de suite que la pensée qui rendait Monique triste ne venait pas de Dieu. Elle rappela à sa fille « la question importante » qu'elle devait se poser. En effet, Monique avait appris à se poser une question très importante au sujet de ses pensées. La voici: « Cette pensée venait-elle de Dieu ? » Science et Santé pose la question de la façon suivante: « Les pensées sont-elles divines ou humaines ? Voilà l'importante question. » Mary Baker Eddy, Science et Santé avec la Clef des Écritures, p. 462.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !