Un Grand Merci à tous ceux qui écrivent pour les périodiques de la Science Chrétienne. Les récits de guérison encourageants et les articles vivifiants apportent tant d'espoir à l'humanité et correspondent si bien à mes propres besoins que je me sens à mon tour poussée à offrir un témoignage.
Nos deux enfants sont nés de manière harmonieuse et naturelle, et ces naissances m'ont fait voir l'efficacité de la prière scientifique. En effet, mon mari et moi avions préparé chacune d'elles par nos prières avec l'aide d'un praticien de la Science Chrétienne.
Il y a plus d'un an, nous avons senti l'effet merveilleux de la douce présence de Dieu qui guérit. Un soir, notre fils de dix mois était d'une pâleur et d'une faiblesse alarmantes. Il respirait avec difficulté. Dans la journée, il avait été très calme, ce qui ne lui ressemblait pas.
Vers minuit, son état s'aggrava soudain. Effrayée, j'appelai un praticien de la Science Chrétienne. Mon mari tenait l'enfant dans ses bras pendant que je répétais à haute voix toutes les affirmations du praticien concernant la perfection dont Dieu avait doué notre fils. J'étais très reconnaissante envers le praticien, qui avait répondu tout de suite à notre appel. Pendant environ un quart d'heure, il nous rappela des passages de la Bible, de Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy et de l'Hymnaire de la Science Chrétienne, passages qui affirmaient la totalité de Dieu, le fait que Dieu est la vie de l'homme et que rien ne peut séparer l'homme de Dieu, son Père.
La respiration de l'enfant devint un peu plus régulière, mais son état ne semblait guère s'être amélioré. Avant de raccrocher, je demandai au praticien de continuer de nous soutenir par la prière. Il accepta volontiers, et, lorsque mon mari lui demanda de venir chez nous, il se déclara prêt à partir tout de suite.
A plusieurs reprises au cours des mois qui avaient précédé et suivi la naissance de nos enfants, j'avais été voir un médecin pour des bilans afin de me conformer aux lois de mon pays. Chaque fois que la situation s'y prêtait, j'avais mentionné notre désir d'élever nos enfants dans la Science Chrétienne et de les protéger par nos prières quotidiennes.
J'appelai donc ce médecin, et il arriva dix minutes plus tard. Notre fils reprenait alors des couleurs. Le docteur l'examina et déclara: « Cet enfant est en parfaite santé ! » Mon mari lui assura que nous ne l'avions pas appelé pour rien, car un quart d'heure plus tôt nous avions sous les yeux une image bien différente. Le médecin posa sa main sur l'épaule de mon mari en disant: « Nous ne savons pas toujours ce qui ne va pas avec ces petits êtres. » Il partit peu après, satisfait de l'état de notre fils.
Le praticien arriva quelques minutes plus tard et se réjouit avec nous; il resta auprès de nous et continua d'affirmer que Dieu est bon et toujours présent jusqu'à ce que nous nous sentions satisfaits des progrès du bébé. Au matin, tout était normal.
Lors du rendez-vous suivant, je reparlai de cet incident au médecin sans lui cacher que nous avions d'abord demandé à un praticien de la Science Chrétienne de prier pour notre enfant. Il m'écouta avec intérêt. Il m'avoua par la suite que, d'après sa longue expérience, il ne serait pas du tout étonné que l'aide par la prière ait répondu au besoin de notre fils. Quelle joie de voir la réceptivité de cet homme !
Je suis très heureuse de découvrir chaque jour un peu plus l'amour et la sollicitude que notre Père-Mère Dieu dispense à chacun de nous. Cet apprentissage constant est un don précieux.
Chalfont St. Peter (Buckinghamshire), Angleterre
J'ai le grand plaisir de confirmer le témoignage de ma femme. La guérison qu'elle décrit est la preuve la plus spectaculaire du pouvoir curatif de Dieu que j'aie pu observer à ce jour.
Je fus aussi très effrayé à la vue de notre fils lorsque j'entrai dans la chambre où il était couché. Je le pris aussitôt pour le serrer dans mes bras, craignant de le perdre. Pendant que ma femme allait appeler le praticien, je priai Dieu à haute voix, comme je ne l'avais jamais fait auparavant, affirmant la domination qu'Il a donnée à l'homme sur le péché, la maladie et la mort.
Ainsi que ma femme l'a indiqué, elle me répétait les vérités que le praticien lui communiquait par téléphone. Je sentais le besoin de les répéter moi-même, tout en tenant toujours le petit dans mes bras. Sa respiration retrouva un rythme plus normal; la guérison avait commencé.
Le lendemain, alors que j'étais au travail, mes craintes revinrent. Je vis clairement que je devais prier pour éliminer cette peur. De retour à la maison le soir, j'eus avec ma femme une conversation qui me convainquit que je devais faire davantage confiance à Dieu et reconnaître qu'en Science Chrétienne la guérison est parfaite et permanente. Je devais aussi exprimer ma reconnaissance pour cette guérison. Une fois cela bien établi, le poids de la crainte disparut très vite.
Je comprends de mieux en mieux la Science Chrétienne, qui aide de manière bien concrète tous ceux qui s'efforcent de suivre ses enseignements. Ma gratitude est infinie.
