Ces Derniers Mois, j'ai constaté une ouverture dans la pensée du monde: les gens acceptent plus facilement des idées nouvelles. Mais les idées en question sont si éloignées du cours normal de la pensée humaine que celui qui ne les a pas lui-même examinées attentivement se demandera s'il est possible qu'une personne sensée les prenne au sérieux.
Pourtant, bien que ces idées semblent radicales à celui qui perçoit la vie et l'univers sous un angle strictement matériel, elles sont démontrables sur le plan pratique de l'existence humaine, car ce sont les idées et les vérités qui expliquent la Science du Christ, la Science de la Vie, Dieu, et du lien qui unit l'homme à son Créateur. Elles décrivent Dieu comme l'Esprit pur, infini, l'unique Entendement, et toute la création parfaite de Dieu, dont l'homme, comme purement spirituelle. C'est là la réalité divine qui n'admet aucun péché, aucune maladie, aucune limite, aucune mortalité et qui ne reconnaît pas même un semblant de pouvoir au mal.
Contestant les notions traditionnelles des science physiques, les idées de la Science divine affirment que la matière, sous toutes ses formes, n'a en réalité ni origine, ni but, ni conséquence substantielle. Conclusion à tirer de cette interprétation purement métaphysique de la vie: tout ce qui manque de permanence ou dévie tant soit peu du bien, doit être qualifié d'« irréel ». C'est une illusion, une erreur fondamentale des sens corporels. Dans le cadre de la Science du Christ, ou Science Chrétienne, il n'est concédé aucune validité, ni première ni ultime, aux hypothèses de vie dans la matière, d'intelligence biologique et de sensation physique; de plus, il ne leur est reconnu aucun droit de déterminer le cours de la vie de l'homme.
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