L'été dernier, je me promenais dans le bois près de chez moi, lorsque j'ai trébuché et me suis tordu le pied sur une pierre qui dépassait du chemin. La douleur a été vive mais j'ai immédiatement affirmé que je ne pouvais jamais me trouver en dehors de la sollicitude de Dieu, et j'ai refusé d'accorder de la réalité à la douleur, qui s'est estompée rapidement. J'ai pu ensuite continuer la promenade en marchant normalement.
Mais, une fois à la maison, la douleur est revenue, plus vive, et je n'arrivais plus à me déplacer confortablement. Comme je le fais toujours quand je suis face à un problème, j'ai commencé à prier. Je me suis appuyée sur l'exposé scientifique de l'être (Science et Santé, p. 468), en affirmant mon identité spirituelle comme étant le reflet de Dieu, manifestant les qualités divines.
Puis, des paroles de la Bible me sont venues à la pensée: « Car en lui nous avons la vie, le mouvement et l'être ». (Actes 17:28) C'est en Dieu, l'Esprit, que nous avons le mouvement, et non dans la matière. Et, pour renforcer ma prière, j'ai repris chacun des sept synonymes que Mary Baker Eddy a indiqués pour Dieu (voir Science et Santé, p. 465), et je les ai appliqués à cette phrase: c'est dans l'Amour et pas dans la crainte que nous avons le mouvement; dans la Vérité et pas dans l'erreur, etc. Quand je suis arrivée au synonyme Entendement, l'idée de la liberté m'est venue très clairement. Rien ne peut arrêter ou limiter les pensées de Dieu. L'homme se mouvant dans l'Entendement, la conscience divine, est toujours libre. Cette idée de liberté est restée avec moi tout au long de la soirée.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !