À la suite d'une maladresse, de la soupe bouillante est tombée sur ma main un soir, il y a quelques mois. Avec vigueur, j'ai dit « non », malgré la douleur très vive: j'ai refusé d'accepter que Dieu, le Bien infini, puisse permettre à un accident de se produire. Je n'ai pas regardé ma main, je l'ai essuyée et j'ai pensé que c'était l'occasion de mettre en pratique ce que j'avais appris en Science Chrétienne, à savoir qu'en réalité, la matière, qui ne peut penser par elle-même et qui n'a pas d'intelligence, n'a pas de sensation propre. Je me suis cramponnée à cette idée. Je n'étais pas inquiète, car depuis que j'ai entendu parler de la Science Chrétienne, en 1946, j'ai eu de nombreuses occasions de constater que si on applique la vérité divine avec fermeté, avec conviction, l'harmonie donnée par Dieu se manifeste, y compris sur le plan physique. Je savais que l'état mental gouverne l'état physique.
J'ai donc prié en m'imprégnant des idées contenues dans l'« exposé scientifique de l'être », qui se termine par l'affirmation que l'homme n'est pas matériel, mais spirituel (voir Science et Santé, p. 468), car il a été créé, comme le dit le premier chapitre de la Genèse dans la Bible, à l'image et à la ressemblance de Dieu, l'Esprit. Très vite, je n'ai plus ressenti aucune douleur. J'ai regardé ma main, dont la rougeur s'estompait rapidement, pour disparaître sous mes yeux. Tout est rentré dans l'ordre en quelques minutes.
Je suis très reconnaissante de cette guérison.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !
