Il y a quelques années, des bandits m'ont attaqué. Leur couteau a traversé ma main et mes doigts ne bougeaient plus. Le sang coulait à flot.
Cela faisait presque douze ans que je pratiquais la Science Chrétienne et je repoussai toute crainte car je savais au fond de moi que « les accidents sont inconnus à Dieu » (voir Science et Santé, p. 424). J'affirmai en moi-même que la création de Dieu est bonne, entièrement spirituelle et que mon être était intact. J'acceptai cependant qu'on m'emmène à l'hôpital car il fallait accomplir des formalités administratives (parce qu'on avait arrêté l'un des bandits).
Pendant tout ce temps, j'ai pensé au cantique numéro 350 de l'Hymnaire de la Science Chrétienne, qui dit: « Même aux heures de souffrance, tout, tout est bien. » Je me suis cramponné à ce cantique, et j'ai refusé d'accepter la pensée que j'avais été agressé ou blessé. Je me sentais en parfaite sécurité en Dieu.
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