On a beaucoup parlé, dans les médias européens, du protocole de Kyoto sur les changements climatiques, qui est entré en vigueur le 16 février dernier. Par cet accord, négocié dans la belle ville de Kyoto, au Japon, les pays signataires s'engagent à réduire les émissions de certains gaz principalement le dioxyde de carbone qui contribuent à l'effet de serre et seraient responsables du réchauffement de la planète. A Bruxelles, où se trouve le «Centre de l'Union européenne (UE), les préoccupations environnementales sont très présentes. Mais la conscience écologique n'est pas réservée à l'UE ou à d'autres parties du monde.
L'état de la planète concerne non seulement les décideurs et les organismes environnementaux, mais chaque citoyen. Tous ceux qui respirent, boivent de l'eau, se promènent ou s'ébattent sur les plages et dans les forêts, ceux qui construisent, achètent ou louent des maisons pour y vivre, ceux qui font pousser des produits de la terre, les vendent et les consomment. En fait, c'est une préoccupation commune à la grande famille humaine que nous formons.
Devant la gravité et l'ampleur des problèmes écologiques actuels, chacun pourrait se demander: «Que faire ? Mes pensées ou mes actes ont-ils une importance ? Puis-je changer quelque chose ?»
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