Depuis que je m appuie sur les lois de Dieu enseignées dans la Christian Science, j’ai eu beaucoup de preuves de l’efficacité de la prière. C’est avec une profonde gratitude que je fais part de mon témoignage.
Une nuit, quand notre fils était petit, il a commencé à avoir des démangeaisons et il se sentait mal. J'ai remarqué qu'il avait des boutons sur le corps. Il était environ trois heures du matin et je devais partir travailler deux heures plus tard. Je me mis à prier, et des passages de la Leçon biblique pour cette semaine-là (indiqués dans le Livret trimestriel de la Christian Science) m’aidèrent beaucoup. Par exemple, il y avait ce verset de la Bible: «... il n’y a point d’autorité qui ne vienne de Dieu... (Romains 13:1) Je m’appuyai aussi sur ce passage de Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy: «La pensée est plongée dans les ténèbres et le doute tant qu’elle prend la matérialité comme base de la création. (p. 551) En priant, j’acquis la certitude que mon enfant était l'enfant de Dieu, spirituel, en sécurité dans Sa présence, et je ressentis un grand calme.
A cinq heures, j’avertis mon mari et il fut décidé que je resterais à la maison. Mais en fait, toute difficulté s’était évanouie au matin: les boutons avaient disparu, l’enfant ne se grattait plus. Nous passâmes une journée calme et harmonieuse pour toute la famille.
Quelque temps après, la femme qui gardait notre enfant m’apprit qu’il y avait eu une épidémie à l’école. Et j'ai été très reconnaissante de la guérison si rapide de mon fils.
Un autre soir, j’ai eu une crise aiguë de douleurs abdominales, et j’avais très froid alors que nous étions en été. Mon mari s’inquiétait, mais je lui demandai de me laisser seule pour prier.
Pendant un long moment, je semblais être incapable de penser ou de prier, à cause de la douleur. Mais je me suis rappelé des guérisons obtenues dans le passé et cela m'a redonné du courage. Je demandai à Dieu de m'indiquer ce que je devais comprendre. Très vite, je découvris que pendant la journée, j’avais manifesté des pensées d’impatience face à une situation difficile. Je décidai aussitôt de corriger ces pensées. Des idées trouvées dans Science et Santé me furent utiles: «Les pensées de Dieu sont parfaites et éternelles; elles sont substance et Vie. Les pensées matérielles et temporelles sont humaines, renfermant l’erreur, et puisque Dieu, l’Esprit, est l’unique cause, elles n’ont pas de cause divine. (p. 286) Je compris que l’homme, l’idée de Dieu, n’a pas d’autre substance ou Entendement que Dieu. Je reconnus fermement mon identité spirituelle, parfaite, comme Dieu l’avait créée.
Environ une heure plus tard, mon mari vint prendre de mes nouvelles. La situation était très différente, et mon mari en était étonné. Je lui dis: Si tu savais ! Dieu est bon, et Il est Tout, et Il nous aime tant. A ce moment, je sentis la présence vivante du Christ, qui libère: j’étais guérie. Et en effet, je n’ai plus jamais eu ce genre de difficulté. La guérison a eu lieu il y a plus de quinze ans et s'est avérée permanente. Je compris par la suite que ce n'était pas un endroit spécifique du corps qui avait besoin d'être guéri, mais la croyance que je pouvais être séparée de Dieu.
Une autre fois encore, il y a bien des années, je vis apparaître sur le bout de mon nez une excroissance qui grossissait de plus en plus et était douloureuse. Je me mis alors à prier avec ferveur et je décidai de cesser d’observer l’état de mon nez, mais plutôt de me tourner vers Dieu qui me montrerait le chemin. Je l’invoquai en tant que Père-Mère qui prend toujours soin de tout et de tous; Lui seul était responsable de Ses enfants. Très vite, la douleur disparut, ainsi qu’une impression décourageante de culpabilité dans mon travail. Puis, au bout de quatre ou cinq jours, l’excroissance disparut aussi. Cette guérison arriva lorsque je reconnus seulement que j'étais l’enfant bienaimée de Dieu qui avait seul tout le gouvernement de l’univers et de l'homme entre Ses mains.
A la même époque, notre fils m’avait demandé de prier pour plusieurs verrues qu'il avait sur les jambes. Après avoir prié, je fus amenée à expliquer à l’enfant que nous devions garder à la pensée uniquement son identité spirituelle, l’enfant parfait, pur et sans défaut créé par Dieu. Et nous devions avoir la même vision des autres. L’énervement, la colère, l’impatience, la méchanceté, l’inharmonie qu’il pouvait rencontrer ne faisaient pas partie de la création de Dieu et ne pouvaient donc affecter ce qu'il était vraiment. Dieu l’aimait, Il le connaissait bon et pur et Il prenait soin de lui. Cela prit un certain temps, mais un jour, après quelques semaines, il est venu me montrer que ses verrues avaient fortement diminué de volume. Je lui dis que la guérison était en marche. Quelle joie ce fut de constater peu de temps après que toutes les verrues avaient disparu. Il se sentait de nouveau libre et pouvait aller à la piscine sans aucune gêne.
Ma reconnaissance à notre Père-Mère Dieu de nous avoir donné la Christian Science est immense.
Jumet, Belgique
    