J'ai reçu tant de bienfaits de la part de notre Père-Mère Dieu que je considère comme un devoir pour moi aussi d'exprimer ma gratitude par l'intermédiaire de ces pages du Héraut. J'aimerais en particulier rendre témoignage d'une guérison que j'ai eue en 1996.
C'était un dimanche, nous étions invités mon épouse et moi à un dîner chez un couple ami. Au milieu du repas, j'ai été terrassé par une douleur terrible au ventre. Je dus quitter la table pour m'étendre sur un canapé. Transpirant à grosses gouttes, je me suis tourné vers Dieu pour chercher du secours, en comprenant que j'étais Son enfant bien-aimé et qu'en aucun cas, cette occasion joyeuse d'être entre amis ne pouvait donner lieu à des souffrances. Je savais que ces amis chez qui nous nous trouvions me soutenaient aussi par la prière.
Cela me donna du courage et nous rentrâmes à la maison. Mais une fois arrivés, la confusion mentale que je ressentais ne me permit pas de lire moi-même la Leçon biblique de la semaine (indiquée dans le Livret trimestriel de la Christian Science), comme je désirais le faire. Cependant, ma femme me la lut à haute voix, une première fois, puis une deuxième fois. Un passage de la Bible retint alors mon attention: «Que toute chair fasse silence devant l'Éternel» (Zacharie 2:13) Je demandai à ma femme de me lire les définitions des mots «chair» et «Esprit» qui se trouvent dans le Glossaire de Science et Santé. Mary Baker Eddy, définit en partie la «chair» comme «une supposition que la vie, la substance et l'intelligence sont dans la matière; une illusion; une croyance que la matière est sensible» (p. 586), et l'«Esprit» comme «tout ce qui est bon; Dieu; seul ce qui est parfait, éternel, omniprésent, omnipotent, infini. (p. 594)
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !
