Il y a quelque temps, un membre de ma famille m'a appelée pour me dire qu'une lettre importante m'avait été envoyée par courrier spécial et que je la recevrais le lendemain. Or, ce ne fut pas le cas. J'appelai le service du courrier, où l'on me dit qu'elle ne devrait pas tarder. Pendant plusieurs jours, j'eus cette promesse, mais la lettre n'arrivait toujours pas.
En Inde, on dit qu'une fois que du courrier s'est égaré dans un service, on peut mettre une croix dessus. Ce pessimisme semblait justifié, surtout quand le service me confirma finalement que ma lettre était perdue.
Une attitude pessimiste est certes peu encline à reconnaître le bien. Tout en réfléchissant à la situation, il me vint soudain à l'esprit que j'étais tentée de croire que le bien pouvait en être absent ou impossible à discerner. Je vis que mon besoin était moins de recevoir une lettre que de demander à Dieu de me révéler Sa nature aimante et sage, Son caractère pur; mon besoin, c'était de reconnaître le bien. J'ai affirmé que, puisque le bien vient de Dieu, il est toujours en vue, jamais caché ni perdu. J'ai refusé de laisser pénétrer des pensées de peur, de doute et j'ai nié la possibilité qu'il y ait des erreurs. Au contraire, je me suis tournée vers la puissance de Dieu en maintenant que chaque personne qui avait eu à faire à cette lettre était entourée de l'amour de Dieu, parce que le seul Entendement divin nous guide tous.
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