Me sentir bien intégrée à un groupe n'avait jamais été mon point fort. Mais il y a une différence entre se trouver à la périphérie et se sentir repoussé et rejeté. C'est ce qui m'est arrivé quand je suis entrée au collège. Et c'était très dur.
Mes ennuis ont commencé dès la première année: je semblais incapable de communiquer avec mes camarades de classe. Nous ne partagions pas les mêmes intérêts, aussi n'avions-nous pas grand-chose à nous dire. De plus, ma classe était pleine de clans. Le niveau entier ne comptait que trente-cinq élèves, ce qui renforçait l'importance des clans. Si on n'était pas «in», on se sentait vraiment exclu. Et, c'était certain, je n'étais pas «in».
Alors, que faire dans une situation pareille ? Changer ? Je savais que quelque chose devait changer, mais je ne voulais pas changer ce que j'étais. Cela semblait superficiel, en fait, impossible. Alors j'ai décidé de changer plutôt la manière dont je voyais les choses. J'ai appris, en allant à l'école du dimanche de la Christian Science, que les situations changent quand on prie pour voir les choses comme Dieu les voit.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !