Skip to main content Skip to search Skip to header Skip to footer

Croyez Dieu

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’octobre 2005


Croire en Dieu est important, déclare M. Richard Bergenheim, professeur et praticien de la Christian Science. Mais il ajoute que ce qui produit la guérison, c’est le fait de croire Dieu et ce qu’il ne cesse d’affirmer concernant la sante, la perfection et la bonté de chacun.

La famille de M. Bergenheim a connu la Christian Science à la fin du XIXe siècle grâce aux guérisons accomplies par James Neal, l’un des élèves de Mary Baker Eddy. Son arrière-grand-mère a travaillé pendant un an à Pleasant View, la demeure que possédait Mary Baker Eddy dans le New Hampshire. En 1889, son arrière-grand-père a suivi le dernier cours Primaire sur la guérison spirituelle donné par Mary Baker Eddy.

C’est au cours de ses études universitaires que M. Bergenheim commence à s’intéresser vraiment à la religion de sa famille. Après avoir obtenu une maîtrise d’anglais de l’Institut Shakespeare (Université de Birmingham), en Grande-Bretagne, il enseigne l’anglais dans un lycée pendant deux ans. Puis, en 1974, il se lance dans la pratique à plein temps de la Christian Science. Il devient professeur de la Christian Science en 1982. Par la suite, il est nommé membre du Conseil d’Instruction de la Christian Science, aux États-Unis, puis membre du Conseil des directeurs de la Christian Science et rédacteur en chef des périodiques de la Christian Science. Aujourd’hui, il est rédacteur en chef du Christian Science Monitor.

Aujourd’hui, je m’attends bien plus à la guérison que lors de mes débuts», m’a avoué M. Bergenheim lors de notre entretien. «Mais la guérison est pour moi un émerveillement perpétuel. J’imagine que des praticiens expérimentés pourraient dire: “Mais comment pouviez-vous faire de la pratique sans vous attendre complètement à la guérison?”

Et que répondriez-vous à cela?

Qu’ils ont raison ! Mais comment pourrions-nous cesser d’être émerveillés par la manifestation de la bonté divine, par cette bonté qui guérit?

En fait, à la base, il ne s’agit pas d’un pouvoir personnel. C’est Dieu qui se fait connaître Lui-même. En repensant à mes tout premiers cas, j’ai reconnu avoir été surpris quand le patient rappelait pour dire que le problème était complètement résolu. Je me suis rendu compte que je m’attendais à une amélioration, mais non à une guérison radicale. Cela m’a incité à un examen de conscience en profondeur. Le doute et l’incertitude ont cessé de peser lorsque j’ai vraiment compris que la guérison ne dépend pas d’un pouvoir ou d’un talent personnel. Ce pouvoir appartient à Dieu, qui nous donne ce dont nous avons besoin. Dans les cas en question j’ai prié au mieux de ma compréhension, mais je n’ai pas principalement cherché à ce que mes patients aillent mieux, ce que je faisais pourtant bien sûr. Mais en premier lieu, je cherchais à entendre ce que Dieu me communiquait. J’ai compris que si j’étais réceptif au message divin, cela créerait une fenêtre à travers laquelle Sa vérité et Son amour nous atteindraient, moi et la personne demandant de l’aide. C’est pourquoi la prière, c’est entendre Dieu dire: «Je gouverne. Tout ce que J’ai créé est bon et parfait. Éternellement. Cette situation a été parfaite, est parfaite et continuera de l’être.»

Au cours de mes années de pratique, j’ai appris deux choses fondamentales.

Premièrement, c’est le pouvoir de Dieu qui guérit. Deuxièmement, il faut apprendre à croire Dieu.

Que voulez-vous dire au juste?

Si vous deviez prier pour une personne souffrante, vous voudriez peut-être vous tourner vers Dieu en disant: «Je veux aider cette personne qui est dans une grande souffrance.»

Mais vous n’obtiendriez guère de réponse, car cette déclaration n’est pas en accord avec ce que Dieu déclare: «Puisque J’ai tout créé et que J’aime tout ce que J’ai créé, Ma création entière manifeste uniquement Mon amour.» Personne ne pense que la douleur est la manifestation de l’amour. Les deux ne concordent pas. La question se pose alors: «Dieu cause-t-Il la douleur ? La douleur peut-elle exister dans cet univers gouverné par Dieu ?» Non, bien sûr ! Et si je veux croire l’apôtre Paul qui affirme que «en lui [Dieu] nous avons la vie, le mouvement, et l’être» (Actes 17:28), il s’ensuit que le patient vit et se meut là où il n’y a pas de douleur.

Dieu déclare en substance: «J’ai regardé partout et je n’ai vu aucune douleur.» Faire confiance à cette déclaration vous conduit jusqu’au point où vous admettez qu’il n’y pas de douleur. Il n’y a que l’amour, que l’ordre de Dieu, l’autorité divine. Mais si, après avoir prié de cette façon, on se remet à penser: «J’espère que Monsieur Untel ne souffre plus», on perd tout le bénéfice de cette prière, puisqu’on ne croit pas Dieu quand Il déclare: «Seul Mon amour est présent, seule Ma vérité est présente, seule Ma loi est présente.»

Un exemple particulier vous vient-il à l’esprit?

Un jour, une femme m’a appelé pour me demander de prier pour elle, car elle avait un problème rénal qui la faisait beaucoup souffrir. Un praticien consacre sa vie à aider les gens à ne pas souffrir. Pour lui, la souffrance est tout à fait inacceptable, et toute sa compassion le porte vers le patient. Nous avons donc prié ensemble pendant près d’une semaine.

Elle m’a rappelé une nuit, alors qu’elle m’avait déjà appelé plusieurs fois pendant la journée. Il était tard, elle ne se sentait pas bien du tout. Je l’ai rassurée, puis je me suis assis sur le bord de mon lit pour prier. Cette pensée m’est venue à l’esprit: «Je t’ai dit qu’il n’y a pas de douleur.» Mais une autre voix en moi disait: «Pourtant cette femme pleurait de douleur.» La première pensée se faisait insistante: «Tu as prié en haut, en bas, à droite, à gauche, et tu as découvert qu’il n’existe rien qui ressemble à de la douleur dans Mon univers. Par conséquent cela ne peut exister chez un seul de Mes enfants, que J’aime et chéris. J’ai donc décidé de croire Dieu et j’ai dit: «D’accord !» Puis je me suis rendormi. Un quart d’heure plus tard, une pensée m’a réveillé: «Quelle sorte de chrétien es-tu ? Cette personne est en train de souffrir, et toi tu préfères dormir? J’allais me lever quand Dieu a déclaré: «Il n’y a pas de douleur.» C’était le point final. J’ai cru à Sa Parole. J’ai dormi jusqu’au lendemain matin. La dame a dormi jusqu’au lendemain matin. Un ou deux jours plus tard, elle a pu quitter la maison de repos pour rentrer chez elle. Voilà dans quelles circonstances j’ai appris à croire Dieu.

Croire Dieu, c’est donc accepter sans réserve, pas seulement sur le plan intellectuel, mais au plus profond de son cœur, ce que Dieu nous communique sans cesse concernant notre nature spirituelle véritable. C’est croire ce qu’Il-Elle affirme sans cesse au sujet de la réalité, qui est bonne, harmonieuse, sans aucune discordance ni douleur. Croire cette affirmation a un effet transformateur puissant.

Absolument. Croire Dieu annule toute perception erronée de la réalité et guérit tout ce qui est discordant.

Comment cela?

Et bien voyons ce qui se passe dans la pensée de la personne au moment de la guérison. Je vais vous parler ici du Christ, c’est-à-dire de la nature divine de l’homme Jésus. Mary Baker Eddy écrit: «Le Christ est la vraie idée énonçant le bien, le message divin de Dieu aux hommes, parlant à la conscience humaine.» (Science et Santé, p. 332) C’est pourquoi, chaque fois que l’on est conscient des idées divines qui viennent de Dieu, le maléfice de la douleur et de la maladie disparaît. Lorsqu’un praticien prie avec un patient, l’un et l’autre sont réceptifs à l’amour et à la sollicitude de Dieu. A un moment, l’un d’entre eux (où les deux) devient conscient du fait que le patient est réellement parfait en ce moment même. La certitude que Dieu maintient Son enfant en parfaite santé élimine toute notion de douleur ou de maladie. Tous deux ont en réalité prié pour devenir davantage conscients de la présence active du Christ.

Si j’ai bien compris, vous venez d’expliquer que ce que Mary Baker Eddy décrit comme étant «la guérison physique par la Christian Science» (Science et Santé, p. xi) est un processus purement mental. La lumière divine du message de Dieu produit un changement dans la conscience humaine, ce qui entraîne un changement dans le corps humain, lequel en réalité est lui-même, en fin de compte, une construction mentale.

C’est exactement cela.

Revenons à l’idée selon laquelle croire Dieu est un élément essentiel de la guérison. Je pense à ce qu’écrit Mary Baker Eddy dans Science et Santé: «Pour [...] se prévaloir de la puissance de l’Esprit, il faut aimer Dieu par-dessus tout.» (p. 167) Donc vous aidez le patient à comprendre qu’aimer Dieu par-dessus tout – et se prévaloir ainsi de la puissance de Dieu – c’est entre autres accepter sans réserve Son message-Christ. Mais comment parvenir à ce point?

Il me semble qu’il y a deux façons d’y parvenir. En premier lieu, l’étude est essentielle. Il faut approfondir et découvrir par soi-même. La Bible raconte l’histoire de l’humanité qui découvre la nature de Dieu. On doit prendre part à cette découverte d’un Dieu qui est Amour, d’un Dieu omniprésent et tout-puissant.

Science et Santé est un guide essentiel dans cette voie. C’est un livre qui nous aide à saisir la portée pratique de cette découverte qui change l’existence de ceux qui la comprennent. Il ne s’agit donc pas seulement, comme vous l’avez souligné vous-même, de reconnaître intellectuellement que Dieu est tout-puissant. Science et Santé aide à comprendre que l’affirmation «Dieu est omnipotent» signifie quelque chose de puissant et de très concret.

Ceci dit, un oiseau a besoin de deux ailes pour voler. De même, pour s’élever spirituellement, il est nécessaire d’étudier, mais il faut aussi utiliser la seconde aile, qui est la mise en pratique au quotidien. Une qualité qui me semble essentielle pour acquérir cette expérience est la bonne volonté. C’est-à-dire qu’il faut désirer aider les autres. Il faut être disposé à mettre de côté ses projets et ses obligations à certains moments, quand il est plus important de s’occuper du bien-être de quelqu’un d’autre. Comme le dit Science et Santé, «l’amour pour Dieu et pour l’homme est le vrai mobile à la fois pour guérir et pour enseigner» (p. 454). L’amour désintéressé est si important ! La toute première phrase du chapitre intitulé «La prière», dans Science et Santé, montre que ce point est au cœur de la guérison: «La prière qui réforme les pécheurs et guérit les malades est une foi absolue dans le fait que tout est possible à Dieu – une compréhension spirituelle de Dieu, un amour détaché de soi-même.» (p. 1)

L’étude et la prière individuelles répondent aux deux premières conditions: une foi absolue et une compréhension spirituelle de Dieu. Mais ce n’est qu’en faisant quelque chose, en se préoccupant du bien-être des autres, en les aidant, en pratiquant et en vivant ce que l’on a appris, que l’on exprime cet amour dont parle Mary Baker Eddy.

Je suis frappé par une chose: quand Jésus avait de la compassion pour les foules ou quand un praticien a de la compassion pour une personne, il s’agit là d’une forme naturelle de grâce et d’affection. Mais cet amour ne provient pas seulement du cœur humain. En réalité, il provient de Dieu. En d’autres termes, la compassion humaine est la partie visible de l’iceberg. Ce qui nourrit l’affection et la compassion humaines, ce qui leur donne de la force et le pouvoir de guérir vient directement de leur origine, l’Amour divin. C’est le fait de puiser à cette source qui guérit.

Bien sûr. Mais j’aimerais vous poser une question. Si quelqu’un vous appelait aujourd’hui pour vous dire: «Ma mère est impotente depuis plusieurs années. Acceptez-vous de venir la guérir ?» Quelles seraient vos premières pensées ?

Je suppose que je me demanderais si j’en suis capable, si ma compréhension est suffisante. Ce serait ma réaction naturelle. Mais je crois deviner que cela nous ramène aux deux ailes dont vous avez parlé: l’étude et le désir d’appliquer. Quelle que soit la part de temps consacrée à l’étude, il faut être disposé à accepter cet appel téléphonique et répondre: «Oui, je vais vous aider.» Vous savez, Richard, je suis sûr que si davantage de gens pensaient en être capables, ils le feraient.

C’est la raison pour laquelle je vous ai demandé ce que vous feriez si vous receviez cet appel. On trouve ce passage dans Science et Santé: «Que ni la crainte ni le doute n’obscurcissent votre sens lumineux et votre calme confiance...» (p. 495) Mais la plupart d’entre nous sont d’abord assaillis par la crainte et le doute. Si j’ai peur ou si je doute de moi-même, c’est parce que je pense que cette guérison dépend de moi. Si je crois que ce «moi» joue un rôle important dans la guérison, qu’il en est responsable ou qu’il doit en être capable, je vais au-devant des difficultés. Mais quand on est disposé à répondre à l’appel, Dieu est un professeur extraordinaire.

Si vous êtes prêt à maintenir le fait que Dieu est le seul pouvoir, vous êtes prêt à guérir. D’autre part, si vous comprenez que le Christ est un secours toujours présent, qu’il vous guide, vous dirige, vous inspire, vous «éponge le front», vous donne tout ce dont vous avez besoin, vous n’avez aucune raison de douter ou de craindre.

Je repense souvent à un merveilleux témoignage. On avait demandé à une personne de visiter une patiente. C’est son professeur de Christian Science qui l’avait recommandée auprès de la famille, et elle avait accepté le cas. La voilà donc dans le train pour se rendre chez la patiente, et elle se dit qu’elle manque d’expérience. Elle fait face à tous les doutes que vous et moi connaissons. Mais elle est soudain frappée par une idée, une idée qui me plaît beaucoup: ce n’est pas à elle que la patiente avait fait appel, mais à la Christian Science ! Elle comprend alors que malgré son extrême scepticisme quant à sa propre capacité de soulager la patiente, elle ne doute absolument pas que la Christian Science puisse la guérir. Cela a changé son point de vue. Son «moi» étant mis de côté, elle a pu constater que la Christian Science était très efficace. Voir l’article (en anglais) de Martha Harris Bogue, «Confidence», dans le Christian Science Journal de mars 1903, p. 715.

Si Dieu est le pouvoir à l’œuvre dans la guérison, et si, comme le déclare Science et Santé, «L’Amour révèle le chemin, l'illumine, le désigne, et nous y guide» (p. 454), il suffit de se demander: «Suis-je prêt à croire que l’Amour peut agir, même avec une personne ayant la tête aussi dure que moi ? Suis-je à ce point obstiné ou non-réceptif que même l’Amour divin ne puisse me révéler le chemin, l’illuminer, le désigner et me guider afin que je donne le traitement approprié à ce cas ?»

Pour guérir spirituellement, l’humilité est donc essentielle. Il faut être assez humble pour reconnaître que la personne au bout du fil qui demande à être aidée ne demande pas que vous accomplissiez la guérison, mais...

...elle fait appel à la Christian Science.

Ce qui vous est demandé de faire, c’est donc

... de pratiquer la Christian Science.

Souhaitez-vous ajouter quelque chose?

Il me semble que tout cela revient à dire que la compréhension de la Science du christianisme est un don précieux. En réalité, nous n’avons qu’une bien faible idée de sa valeur réelle. Cette compréhension de Dieu, qui nous a été confiée, est une source de bienfaits dont il est même difficile de parler. Mais nous ne sommes pas censés en faire un usage strictement personnel. Si nous la gardons pour nous, elle s’étiole, car elle est destinée à être partagée.

Si ce don est entré dans notre vie, c’est non seulement pour nous apporter des bienfaits et nous réveiller, mais aussi parce que nous avons la capacité de le vivre. Nous sommes suffisamment bons pour nous intéresser aux autres. Nous sommes parvenus à un degré de croissance spirituelle qui nous met à même d’être une lumière pour le monde. Jésus a dit: «Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée; et on n’allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau, mais on la met sur le chandelier, et elle éclaire tous ceux qui sont dans la maison.» (Matthieu 5:14, 15) Mais si nous cachons notre lumière sous un boisseau, elle n’éclaire plus notre existence autant que nous le souhaiterions, car cette lumière a pour caractéristique d’augmenter quand elle est utile aux autres.

Le christianisme exige que nous éliminions en nous les traits de caractère qui nous empêchent d’être l’expression transparente de l’Amour. L’impatience, la colère, le cynisme ou la sensualité auxquels on a peut-être l’habitude de céder sont autant de fauteurs de troubles chaque fois que l’on veut prier. Mais le praticien désire entendre ce que Dieu communique, et voir les autres comme Dieu les voit. C’est pourquoi chaque fois que je prie, si je m’aperçois que je repense à un tort qu’on m’a fait ou que j’ai une certaine dureté dans le cœur faute d’avoir pardonné quelque chose, ou bien si je me sens victime de quoi que ce soit, ou toute autre chose encore, je sais que je dois retrouver la paix afin de ne pas faire obstacle à la christianisation de ma vie et à la guérison. Pour cela, il me faut accorder la priorité absolue à la spiritualisation de mes pensées et éliminer ces sentiments et ces comportements non chrétiens. C’est à cette condition que l’on peut entendre le message du Christ et démontrer ce que déclare Mary Baker Eddy: «L’Esprit donne la compréhension qui élève la conscience et conduit dans toute la vérité.» (Science et Santé, p. 505) L’Esprit nous donne la capacité de guérir.

Peut-on prier pour avoir cette capacité ? Pour être à la hauteur ? Peut-on prier pour croire Dieu?

Absolument. Mary Baker Eddy écrit: «Le désir, c’est la prière...» (Science et Santé, p. 1) Quel meilleur désir, quel désir plus juste pourrait-on avoir que le désir de croire Dieu ?

Et que dire du désir d’être à la hauteur et de le démontrer ?

Je pense que ce désir est également béni de notre Père. Jésus a déclaré à un homme qui demandait son aide: «Tout est possible à celui qui croit.» Ce à quoi l’homme a répondu: «Je crois ! viens au secours de mon incrédulité !» (Marc 9:23, 24) Jésus ne fit pas la sourde oreille à cette supplication. Il s’en servit au contraire, et il montra à cet homme le pouvoir qu’a Dieu de guérir.

Pour découvrir plus de contenu comme celui-ci, vous êtes invité à vous inscrire aux notifications hebdomadaires du Héraut. Vous recevrez des articles, des enregistrements audio et des annonces directement par WhatsApp ou par e-mail. 

S’inscrire

Plus DANS CE NUMÉRO / octobre 2005

La mission du Héraut

« ... proclamer l’activité et l’accessibilité universelles de la Vérité toujours disponible... »

                                                                                                                                 Mary Baker Eddy

En savoir plus sur le Héraut et sa mission.