En 1989, j’ai donné naissance à des jumeaux dans l’une des plus grandes cliniques de Kinshasa. Pendant la grossesse, toutes les consultations prénatales indiquaient une très forte insuffisance sanguine. Depuis quelques années déjà, je ne comptais que sur la prière pour tout ce qui concernait ma santé et j’avais demandé à un praticien de la Christian Science de m’aider par la prière face à ce problème.
Je n’ai pas pris de médicaments, et le reste de la grossesse, ainsi que l’accouchement se sont bien passés. Mais alors que je me trouvais encore dans la salle d’accouchement, j’ai commencé à ressentir un grand étouffement, et il m’était difficile de respirer. Je me suis tournée vers Dieu pour me sentir entourée de Son amour. J’ai aussitôt trouvé du soulagement. Une fois installée dans une chambre avec mes deux bébés, l’étouffement a toutefois repris, et mon cœur palpitait. C’est alors que je me suis souvenue du problème sanguin que j’avais eu pendant ma grossesse.
Je me suis tournée vers Dieu à nouveau avec la ferme conviction que mon unité avec Lui, mon Père-Mère, ne pouvait être perturbée. Je me suis rappelé de mes entretiens avec le praticien, lors de ma grossesse, et du Psaume 91 en particulier, dont un verset n’avait jamais quitté mon esprit: « Aucun malheur ne t’arrivera, aucun fléau n’approchera de ta tente. » J’ai aussi pensé à ce passage de Science et Santé avec lequel j’avais beaucoup prié: « Pour aider comme il convient la naissance du nouvel enfant ou idée divine, vous devriez tellement détacher la pensée mortelle de ses conceptions matérielles que la naissance sera naturelle et sans danger. » (p. 463)
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