Quand j’étais encore au lycée, en Angleterre, un grand nombre de mes amies ont commencé à fréquenter les boîtes de nuit, alors qu’elles n’avaient pas l’âge légal.
Certaines se vantaient d’avoir rencontré un garçon et d’avoir eu des relations physiques avec lui. Je savais que je ne devais pas aller dans les boîtes, parce que j’étais trop jeune, mais parfois je sentais la pression que mes amies exerçaient sur moi et j’avais un sentiment d’infériorité, car je ne participais pas à leurs prétendues expériences d’adultes. Mes amies m’affirmaient que je manquais une étape importante dans l’apprentissage de la vie. Il me fallait vraiment tenir bon face à leurs allégations.
Or, j’apprenais d’autres choses qui étaient beaucoup plus importantes. A l’école du dimanche où je me rendais chaque semaine, j’acquérais un meilleur concept de ce qu’est ma véritable identité. Dans le livre d’étude de la Christian Science, Science et Santé, j’ai lu: « Les enfants devraient rester des enfants quant aux connaissances, et ne devenir des hommes et des femmes qu’en développant leur compréhension de la nature plus élevée de l’homme. » Mary Baker Eddy, Science et Santé avec la Clef des Écritures, p. 62. D’abord, j’ai cru que cela signifiait que je devais demeurer ignorante ou naïve, mais ce n’est pas le sens de ce passage. J’ai appris que, puisque je suis l’enfant de Dieu, créée à Son image parfaite, j’avais accès à tout ce dont j’avais besoin, sans aucune limite. La bonté de Dieu est infinie, et mon être est inclus dans cette bonté. Par conséquent, je pouvais m’en remettre directement à Dieu pour être guidée et trouver la joie.
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