J’avais commencé à fumer à l’âge de quinze ans. En regardant en arrière, je me demande ce qui avait bien pu m’attirer dans le fait de placer dans ma bouche un objet qui se consume et d’en inhaler la fumée, et je ne parle même pas de ce que je récoltais pour mon argent: une montagne de mégots, un tas de cendre et une mauvaise haleine.
Pourtant, j’étais pris au piège — j’aimais beaucoup fumer. Et c’est pourquoi, alors même que je revenais à la religion de mon enfance, la Christian Science, je n’envisageais pas de me débarrasser de mes trois paquets par jour. J’avais arrêté une fois, à force de volonté, et j’en avais souffert, sur le plan physique et mental. Pendant cette période, j’avais continué d’aimer l’odeur du tabac. Chaque fois que je rencontrais des gens qui fumaient, je savourais l’arome de leur cigarette. Il n’a donc pas été surprenant que je reprenne cette habitude en me disant que les cigarettes feraient toujours partie de mon existence.
Or, à mesure que mon étude spirituelle s’approfondissait, une pensée — un message de Dieu — ne me quittait pas. Je me demandais constamment quel exemple je donnais à ma fille. Quand j’étais à l’école, j’avais vu des jeunes imiter leurs parents en se mettant à fumer très tôt.
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