Depuis quelques années, des recherches scientifiques suggèrent que certains comportements sont liés aux patrimoines génétiques. En d’autres termes, la façon dont une personne se comporte est en grande partie déterminée, ou tout au moins très influencée, par des codes inscrits dans ses gènes. Voir Scot Lehigh, “Blueprint vs. new-print”, The Boston Sunday Globe, 12 janvier 1997.
Cependant, les scientifiques, continuellement à la recherche d’une cause, ne finiront-ils pas par découvrir que les informations génétiques qu’ils observent sont elles-mêmes des effets et non des causes ? Leurs recherches, les menant de plus en plus loin dans le domaine de l’infiniment petit, ne finiront-elles pas par les amener à conclure que la matière ne peut être une cause ?
Je vais revenir sur ces points.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !