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Le lendemain matin, les dents de notre fils avaient repris leur position naturelle.

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’avril 1998


Il y a quelque temps, notre plus jeune fils, âgé d'un an à l'époque, a glissé dans la baignoire. Il s'est fendu la lèvre et avait deux dents déplacées. Je l'ai pris dans mes bras immédiatement pour le consoler, et mon mari est monté voir ce qui se passait dès qu'il a entendu les cris. Nous avons déclaré que rien ne séparait cet enfant de son Père-Mère spirituel, Dieu, ni ne l'empêchait de ressentir Sa présence.

Nous avons téléphoné à une praticienne de la Christian Science qui a accepté de nous donner un traitement par la prière. Elle a suggéré que nous étudiions un passage tiré de l'Épître aux Éphésiens, en particulier le verset décrivant les disciples de Jésus-Christ comme étant « enracinés et fondés dans l'amour » (voir 3:17–19). Le message de ce passage biblique était exactement ce qu'il fallait pour nous apaiser. Or, ces versets nous ont procuré bien davantage qu'un simple réconfort; ils nous ont montré dans quel sens nous devions prier et nous ont assuré que, en ce qui concerne la guérison, l'autorité venait du Christ. Par conséquent, nous pouvions avoir la certitude que toutes les parties du corps de notre enfant avaient été formées à la perfection et qu'elles demeureraient dans cet état.

Nous avons continué de prier bien après que l'enfant se fut endormi. Lorsqu'il s'est réveillé le lendemain matin, la coupure des lèvres était guérie et les dents s'étaient beaucoup redressées. Il était heureux et a mangé son petit-déjeuner avec appétit. Cependant, au bout de trois semaines, quand j'ai constaté que ses dents ne s'étaient pas totalement redressées, je me suis un peu découragée. J'ai appelé la praticienne en lui disant que je pensais vraiment que cette guérison devrait être complète. Elle m'a rappelé qu'il était impossible à une idée spirituelle de souffrir ou d'être déplacée. C'était incroyable à quel point cette réponse s'appliquait directement à une autre situation dans laquelle se trouvait notre famille. Je n'en avais parlé à personne, mais j'en voulais à quelqu'un qui, à mon avis, avait mis en péril la sécurité financière de notre famille. Mon mari et moi avons passé la première partie de la journée à prier jusqu'à ce que nous comprenions que l'identité spirituelle de l'homme ne pouvait jamais être menacée ni affectée par des circonstances matérielles. Le lendemain matin, les dents de notre fils avaient repris leur position naturelle.

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