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Quand j’avais dix ans, ma mère, malade, se vit donner, par une...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de novembre 1988


Quand j’avais dix ans, ma mère, malade, se vit donner, par une amie, un Christian Science Sentinel. Elle sut immédiatement que la Science ChrétienneChristian Science (´kristienn ´saïennce) était ce qui avait manqué à sa vie. Elle entreprit de l’étudier avec ferveur et fut complètement guérie. Elle nous inscrivit, ma sœur et moi, à l’École du Dimanche de la Science Chrétienne. Je me rappelle être revenue la première fois en disant: « Maman, tu ne devineras jamais de quoi nous avons parlé ! Nous avons parlé de Dieu ! » Un tel sujet de discussion pourrait sembler évident et peu inattendu, mais, pour moi, c’était vraiment quelque chose de nouveau. Les dix années qui suivirent à l’École du Dimanche furent merveilleuses. Les mots ne suffisent pas à exprimer ma gratitude envers chacun de ceux dont je reçus l’enseignement. C’étaient tous des Scientistes Chrétiens admirablement dévoués. Ils étaient pleins de force, d’amour et toujours prêts à aider.

Je voudrais raconter deux des guérisons que j’obtins pendant cette période. En premier lieu, ce fut la disparition d’une grosseur que j’avais sous la plante du pied. Elle me gênait depuis un certain temps. Je n’en avais rien dit à ma monitrice, mais les vérités spirituelles dont elle nous parlait illuminèrent tellement ma pensée que je n’eus plus conscience que de Dieu et de Sa bonté, sans m’inquiéter davantage pour mon pied. Quelque temps plus tard, j’étais en train de jouer dehors, pieds nus. Avant de rentrer dans la maison, j’ai voulu me laver les pieds. En nettoyant l’endroit en question, je m’aperçus que la grosseur avait complètement disparu !

Une autre guérison se produisit plusieurs années plus tard. J’avais des difficultés à me mettre debout après être restée assise pendant une période prolongée. Je me levais lentement, car le dos me faisait mal. La douleur durait quelques minutes, puis disparaissait, jusqu’à ce que j’aie à me lever de nouveau. J’étais adolescente à l’époque et cela se produisait régulièrement pendant la journée d’école.

Ce problème ne m’empêchait pas de me livrer à mes activités quotidiennes et je pensais que cela finirait bien par disparaître. Mais, comme la difficulté persistait, je finis par m’inquiéter et j’en parlai à ma mère. Elle me communiqua de nombreuses vérités spirituelles, mais il en est une dont je me souviens et que je médite encore souvent. Il s’agit de cet énoncé de Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy (p. 409): « L’entendement mortel inconscient — autrement dit la matière, le cerveau — ne peut imposer de conditions à la conscience ni dire: “Je suis malade.” » Cela me parut logique et m’aida beaucoup, mais la guérison complète eut lieu à l’École du Dimanche.

Je ne disais rien, désireuse seulement d’absorber ce qu’exposait la monitrice. Elle était si pleine d’amour et comprenait si bien les vérités de la Bible que, de nouveau, j’eus conscience de Dieu et de Sa présence. Et, une fois de plus, j’eus la preuve qu’on n’a pas besoin d’en savoir beaucoup sur la Science Chrétienne pour être guéri. Lorsqu’on est touché par le Christ, la Vérité, on le sait, comme ce dut être le cas au temps de Christ Jésus. Quand la classe fut terminée et que je me levai pour le dernier cantique, je me mis debout rapidement et sans douleur. Et avec quel enthousiasme je chantai ! Ce fut la fin de cette difficulté.

J’étais adolescente pendant ces « fameuses années soixante », comme on le dit parfois pour parler de l’agitation de cette période qui connut une perte des valeurs morales et une recrudescence de l’usage de la drogue. Je ne fus jamais tentée de succomber. J’attribue la solidité de mon éducation à l’amour et à la sécurité que me prodiguèrent ma famille et à mon attirance pour les vérités spirituelles que j’avais apprises à l’École du Dimanche.

Ce ne sont là que deux des nombreuses guérisons que j’ai eues pendant que je fréquentais l’École du Dimanche. Je remercie Dieu d’avoir donné à Mary Baker Eddy la révélation de la Science divine, car c’est vraiment le Consolateur.


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