Que faire lorsqu’on se sent de plus en plus assailli par des difficultés économiques ? Qu’il s’agisse de faire face à une hausse des taux hypothécaires, d’éviter de ployer sous les dettes à la suite d’une perte d’emploi, ou tout bonnement d’avoir de quoi manger tous les jours, il arrive que l’on manque parfois du nécessaire.
Les problèmes économiques personnels ou mondiaux, tels que la dette souveraine des nations ou le coût financier des catastrophes naturelles dont les médias se font l’écho, font fortement penser que la vie est matérielle et qu’elle échappe à notre contrôle. La Science Chrétienne nous permet cependant de comprendre que notre bien-être n’est pas menacé par des forces naturelles destructrices ni par de mauvaises politiques entrepreneuriales ou gouvernementales. Quelle que soit la difficulté ou le niveau d’importance de la situation, nous pouvons refuser de l’accepter, en apprenant à exercer notre sens spirituel et à concevoir l’existence comme Dieu la conçoit. La prière élève la pensée jusqu’à cette certitude spirituelle qui apporte la conviction que Dieu est la Vie même et qu’Il est par conséquent notre Vie. Nous sentant ainsi en sécurité, il nous est possible d’englober notre ville et le monde entier dans cet amour et cette compréhension spirituels.
« Dieu est amour », déclare Jean dans une de ses épîtres (I Jean 4:8). Voilà trois mots qui ont des implications profondes ! Dieu est l’Amour divin, la seule Cause et le seul Créateur vraiment universels. L’Amour préserve et soutient la vie, assure l’équilibre, la constance, le bien en abondance et le progrès, grâce à une loi spirituelle toujours à l’œuvre. Par conséquent, l’économie n’est pas un système humain fragile, mais la bonne volonté infinie de Dieu qui se manifeste sans cesse envers Sa création. Dans Science et Santé, Mary Baker Eddy donne une magnifique description de cette économie divine: « L’Esprit nourrit et revêt chaque objet comme il convient à mesure qu’il apparaît dans l’ordre de la création spirituelle, exprimant ainsi tendrement la paternité et la maternité de Dieu. » (p. 507)
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