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GUÉRI D'UNE ATTAQUE CÉRÉBRALE

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de janvier 2012


Il y a quelques années, alors que ma femme et moi voyagions avec des amis, j'ai fait une petite sieste dans la voiture. Lorsque je me suis réveillé, j'ai éprouvé de la peine à rassembler mes idées. Tout semblait engourdi, presque comme dans un rêve.

Lorsque nous nous sommes arrêtés pour diner, j'ai dû lutter pour rester éveillé. Je pouvais voir et entendre ce qui se passait, mais je ne pouvais participer à la conversation que de façon très sommaire. J'ai eu du mal à passer la commande pour le repas, et, lorsque les plats sont arrivés, je ne me rappelais plus lequel était le mien. Lorsque ma femme a réalisé que j'avais un problème nous avons quitté le restaurant et avons appelé un praticien de la Science Chrétienne pour lui demander de l'aide par la prière. J'avais vu ma mère et un de mes amis souffrir des effets d'une attaque cérébrale, et je craignais d'en avoir une moi-même.

Le praticien a mentionné un mot qui se trouvait dans la Leçon biblique de cette semaine-là. C'était le verbe « t'accompagnera », dans un verset d'Ésaïe: « Alors ta lumière poindra comme l'aurore, et ta guérison germera promptement; ta justice marchera devant toi, et la gloire de l'Éternel t'accompagnera. » (58:8)

Il m'a expliqué que par ce verbe on pouvait aussi comprendre « protégera tes arrières ». Il m'a dit que l'Amour divin élimine les ennemis qui se trouvent derrière nous, annulant la nécessité de regarder en arrière, vers le passé, par peur d'être attaqué. Dieu, la Vérité divine, détruit tout ce qui n'est pas vrai, et nous n'avons donc pas à craindre ce qui est derrière nous.

En retrouvant mon calme, j'ai mieux perçu que je pouvais laisser tomber ce vieux fardeau d'une vie matérielle, sachant que je n'étais jamais né dans la matière, que je n'avais pas de corps physique, et que je n'avais jamais eu de personnalité matérielle ni de passé matériel ni même d'héritage génétique dangereux. Bien qu'il semblait y avoir évidence de la réalité de la vie matérielle, je savais que celle-ci n'était en réalité rien d'autre qu'une illusion complexe.

La définition que Mary Baker Eddy donne de l'homme, le présentant comme « l'idée composée de Dieu, incluant toutes les idées justes » (voir Science et Santé, p. 475), m'a montré qu'à cet instant précis, l'Entendement divin me communiquait toutes les idées infinies, pures et parfaites qui constituaient mon être réel. Cela signifiait que j'étais constamment renouvelé; je pouvais donc me réjouir de ce que la perfection était mon état présent et m'empresser de reconnaître cela. Pendant que je m'efforçais de trouver le sommeil cette nuit-là, je continuais de tester mes capacités cérébrales en résolvant, dans ma tête, des problèmes de mathématiques. Mais j'ai finalement arrêté de vérifier le bon fonctionnement de mes neurones, et à la place, j'ai commencé à approfondir le concept de ma perfection présente. J'ai songé à deux passages de la Bible.

Tout d'abord, Jésus affirme dans l'Évangile selon Luc, chapitre 17, verset 21: « Le royaume de Dieu est au milieu de vous. » Cela m'est apparu comme une confirmation de la définition, citée plus haut, que Mary Baker Eddy donne de l'homme et de la promesse que cette définition implique, c'est-à-dire que chaque idée de Dieu est incluse dans l'homme, reflétée par l'homme, et qu'elle demeure dans l'homme. J'ai compris que chaque qualité de Dieu devait être manifestée en moi, puisque j'étais l'expression de Son être. Cela signifiait que je ne pouvais pas avoir perdu un quelconque aspect de mon acuité mentale.

Le second concept biblique que j'ai étudié était: « Bienaimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu. » (voir I Jean 3:2). Il était si clair pour moi que nous n'avions pas à attendre quelque époque future pour exprimer les qualités de Dieu, mais que nous sommes les enfants de Dieu à cet instant précis et que nous sommes en train d'exprimer, ou de refléter, toutes Ses qualités, maintenant même.

Le matin je me suis senti tout à fait bien et toutes mes fonctions étaient redevenues normales. J'ai continué de prier, sachant que je ne pouvais pas être séparé de mon divin Père-Mère. Je me suis débarrassé de l'affreux mensonge qui affirmait que j'étais handicapé parce que j'avais été séparé, de quelque façon que ce soit, de la source de mon intelligence et de ma perspicacité. Je suis resté en contact avec le praticien deux jours encore, et il a partagé d'autres merveilleuses idées qu'il avait lues dans la Leçon et ailleurs, et qui répondaient parfaitement à mon besoin.

J'ai pu poursuivre le voyage et j'ai passé des moments merveilleux, sans aucune rechute nipeur liées à ce problème. Je savais que je ne pouvais exprimer aucun manque ni handicap de quelque nature que ce soit, mais que je manifestais uniquement toutes les qualités de Dieu.


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