Un soir de décembre 2008, en partant pour une réunion au cours de laquelle je devais assurer une traduction simultanée, j’ai eu l'impression qu’une poussière était entrée dans mon œil. J’ai d’abord écarté les paupières avec les doigts en regardant dans tous les sens, mais sans résultat. Dans le métro, j’étais un peu inquiète car la gêne dans ma vision s'accentuait, ce qui risquait d’être ennuyeux pour lire certains documents à traduire.
J’ai décidé alors de me tourner vers la prière, comme je le fais habituellement face à tout problème, et une phrase de Science et Santé m'est aussitôt venue à l'esprit: « Une idée spirituelle ne renferme pas un seul élément d’erreur, et cette vérité enlève convenablement tout ce qui est nuisible. » (p. 463)
Je me suis accrochée à cette pensée qu'une idée spirituelle – ce que je suis en ma qualité de reflet de Dieu, et ce que nous sommes tous, en réalité – ne peut que refléter le bien et l'harmonie divine, et cela m'a permis d'assurer les traductions nécessaires. Mais au fil de la réunion, la douleur devenait de plus en plus insupportable et mon œil pleurait constamment.
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