Skip to main content Skip to search Skip to header Skip to footer

Liberté retrouvée

Je m'appelle Marie, j'ai seize ans et je fréquente l'école du dimanche de la Science Chrétienne à Paris.

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de juillet 2009


Il y a plus de sept ans, quand j'étais en CM2, j'avais des douleurs et des bosses sur les deux genoux. Mes parents m'ont emmenée consulter un médecin. Celuici a diagnostiqué un problème au niveau des tendons. Il m'a dit: « Tu as le choix, Marie, soit tu te fais opérer, soit tu es dispensée de sport pour toute l'année. » Je n'avais pas trop le choix, car je n'aime pas les hôpitaux, ma mère ayant été souvent hospitalisée. Donc j'ai choisi d'être dispensée de sport et de mettre une crème qui m'avait été prescrite par les docteurs en cas de douleur. Mais un an plus tard environ, mon problème aux genoux s'est aggravé. Je ne pouvais même plus faire de la danse, moi qui en fais depuis très longtemps. Je pratiquais alors la danse hip-hop, que j'aimais beaucoup. J'aime être avec des amis pour danser et partager la même passion. À ce point, je ne pouvais plus faire les figures au sol. Cela m'attristait beaucoup.

En sixième, j'ai décidé d'en parler à mon moniteur de l'école du dimanche. Il a partagé avec moi des idées qui me faisaient beaucoup de bien. On lisait ensemble des passages dans Science et Santé expliquant que Dieu m'a créée parfaite, qu'il n'y a pas de place pour le mal dans ce qu'il a créé. Je me sentais mieux, et plus forte pour pouvoir affronter la douleur qui se présentait quand je faisais certains mouvements. J'étais plus libre d'une manière générale pour bouger.

Les témoignages que je lisais dans le Héraut me montraient aussi que bien d'autres personnes avaient eu des guérisons par la prière. Il n'y avait pas de raison que je ne puisse pas, moi aussi, être guérie. Grâce à l'enseignement reçu à l'école du dimanche et à ma lecture de Science et Santé, j'avais l'espoir de guérir complètement. Je parlais parfois avec mon père et nous lisions des passages ensemble pour me libérer de ces douleurs, mais c'est surtout avec mon moniteur que j'essayais de mieux comprendre qui je suis vraiment et quel est mon rapport à Dieu, afin de me libérer totalement. En quatrième, le problème s'est atténué, et j'ai repris la danse hip-hop et le sport, tout en ayant encore un peu mal aux genoux. Comme le problème avait bien diminué, je ne voyais plus de docteur.

Puis, en troisième, il y a deux ans, je suis allée à Londres pour une rencontre internationale de jeunes scientistes chrétiens, et c'est là que ma guérison s'est précisée. Le fait de me trouver dans un environnement avec seulement des personnes qui connaissent la vérité concernant Dieu et l'homme — c'est-àdire que nous sommes tous en réalité à Son image et à Sa ressemblance — remplissait de joie et d'une douce confiance. J'ai beaucoup apprécié aussi tous les témoignages encourageants que j'ai entendus.

Le jour de la conférence, je sentais que quelque chose changeait en moi, mais je ne savais pas quoi. En fait, mes pensées concernant le problème physique avaient changé. Deux semaines plus tard, j'ai réalisé que je n'avais plus du tout mal aux genoux.

Malgré tout, pendant un certain temps, les bosses n'ont pas disparu. Le médecin que je voyais de temps à autre les avait remarquées et m'avait demandé si cela me gênait pour pratiquer des activités physiques. Mais je lui avais répondu que non. Je pouvais faire tous les loisirs que j'aime, comme de la danse ou du sport.

Cependant, à cause de ces bosses, je n'avais pas de belles jambes et j'en ai parlé à nouveau à l'école du dimanche. Au cours de la discussion, j'ai compris que je ne devais pas arrêter de prier, sous prétexte que je ne souffrais plus. Je devais continuer à affirmer mon état parfait et spirituel d'enfant de Dieu, jusqu'à ce que la guérison soit complète. C'est ce que j'ai fait, et je me suis aperçue un jour, il n'y a pas très longtemps, que mes genoux étaient redevenus tout à fait normaux. Je ne sais pas quand la guérison totale est intervenue. Mais je me sens tout à fait libre maintenant de faire les mouvements que je veux, alors qu'avant j'avais tout le temps l'impression d'avoir des limites. Je peux dire que j'en suis plus qu'heureuse ! Et que je remercie tous ceux qui m'ont aidée à comprendre et à constater ma pleine liberté d'enfant de Dieu.

Pour découvrir plus de contenu comme celui-ci, vous êtes invité à vous inscrire aux notifications hebdomadaires du Héraut. Vous recevrez des articles, des enregistrements audio et des annonces directement par WhatsApp ou par e-mail. 

S’inscrire

Plus DANS CE NUMÉRO / juillet 2009

La mission du Héraut

« ... proclamer l’activité et l’accessibilité universelles de la Vérité toujours disponible... »

                                                                                                                                 Mary Baker Eddy

En savoir plus sur le Héraut et sa mission.