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Article de couverture

ÉCLAIRAGE SUR L'AMOUR ET LA SEXUALITÉ

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’avril 2008


Tout d'abord, pourquoi pensez-vous qu'il soit si important de parler de sexualité ?

Parce que ce sujet est important. Il est nécessaire d'y réfléchir à la lumière de la spiritualité. D'une manière ou d'une autre, il nous concerne tous. C'est pourquoi je suis remplie de reconnaissance pour les périodiques de la Science Chrétienne qui nous aident à clarifier la pensée à cet égard.

La sexualité constitue de fait la partie visible d'éléments profonds que l'on doit examiner et comprendre. N'est-il pas important de connaître nos sentiments profonds pour les considérer en rapport avec notre spiritualité ?

Lors d'une partie de pêche en Alaska, j'ai vu un iceberg: la partie émergée n'en représentait que 10 %, tout le reste étant sous l'eau. La partie supérieure était vraiment magnifique, avec des couleurs incroyables, mais la véritable nature de ce que je voyais se trouvait principalement sous la surface de l'eau. Et il me semble que c'est également valable dans la vie: il est essentiel de prendre conscience de toutes ces choses sous la surface. Je pense à ce beau verset d'un cantique de l'Hymnaire de la Science Chrétienne: « Dans les lieux sombres et cachés brille la lumière bénie... » n°2, traduction littérale de l'anglais) Les questions que les gens se posent sur la sexualité sont en quelque sorte ces lieux sombres et cachés, et il est nécessaire d'aborder ces questions.

Quelle est la question la plus fréquente que l'on vous pose ?

On me demande souvent si la sexualité et la spiritualité s'excluent naturellement l'une l'autre. L'idée selon laquelle nous sommes soit humains, soit spirituels, et que les deux ne peuvent se mélanger, revient en effet très fréquemment. Je propose de la mettre en relation avec cette déclaration de Mary Baker Eddy tirée de Science et Santé: « L'Amour divin a toujours répondu à tout besoin humain et y répondra toujours. » (p. 494)

En d'autres termes, être scientiste chrétien ne nous oblige pas à effectuer une ascension instantanée dans notre vie actuelle, mais permet d'amener le Christ au stade où nous en sommes et, avec tendresse, nous incite à élever notre compréhension de la nature spirituelle des choses, pas à pas.

Qu'entendez-vous par « effecteur une ascension » ?

Pour moi cela signifie se débarrasser des limites de la matière, quelles qu'elles soient. C'est une autre façon de décrire la croissance ou l'éveil spirituels.

Je pense souvent à cette croissance spirituelle comme au fait d'apprendre à un enfant à marcher: quand le bébé apprend à mettre un pied devant l'autre, le père ou la mère se met à son niveau et, plein de joie, l'encourage à avancer. Il en est de même dans nos relations. Le Christ, la présence aimante de Dieu, nous encourage à faire des pas plus libres et plus aimants, même si au début ce ne sont que des pas de bébé.

La Science Chrétienne ne nous rend pas froids ou indifférents, au contraire elle permet aux femmes d'exprimer davantage leur féminité et aux hommes leur virilité, et elle élargit l'image que nous avons de nous-mêmes. Avec la Science, nous nous sentons plus complets et satisfaits, plus doux, tendres et compatissants, et ainsi de suite. Elle nous éveille à une spiritualité plus profonde, ressentie à la fois en nous mêmes et chez l'autre. Nous savons mieux nous aimer l'un l'autre quand nous comprenons davantage notre identité spirituelle.

Ce qui signifierait que notre identité spirituelle devrait naturellement éduquer notre sexualité ? En réalité, les deux éléments ne seraient donc pas dissociés ?

C'est vrai, il existe une relation étroite entre les deux, mais nous ne pouvons pas attendre plus de nous-mêmes ou de l'autre, que ce que nous avons la capacité de comprendre en ce moment. Nous ne pouvons précipiter la compréhension spirituelle ou la feindre.

Je m'efforce par ailleurs de ne pas analyser mon identité ou celle des autres en termes de sexualité, car la véritable définition de chacun de nous est spirituelle. Tout le physique est comparable à une ombre, le spirituel étant la substance véritable. L'ombre suit mais ne mène pas.

Que pensez-vous de l'idée selon laquelle il est mal d'avoir des pensées à connotation sexuelle en général ?

Dans ma conférence, je recours souvent à l'analogie suivante: le sexe est à l'amour ce que le rire est à la joie. Ainsi, on peut avoir des relations sexuelles de la bonne manière, de même qu'on peut rire au moment opportun; si toutefois vous riez ou avez des rapports sexuels au mauvais moment, que votre motivation n'est pas la générosité ou l'amour, aimer et se réjouir peuvent être nocifs. Le sexe égoïste n'est pas une expression de l'amour, mais de la luxure.

Mon fils de quatorze ans m'a demandé récemment ce qu'était la luxure. Pour moi, c'est le désir de quelque chose qu'on ne croit pas avoir et que l'on veut de façon absolument désespérée. J'ai connu cela. Vers la fin de mon adolescence, je recherchais désespérément l'amour. Je pensais le trouver en couchant avec des hommes. Mais je me suis rendu compte que ces relations n'étaient pas en mesure de m'apporter quoi que ce soit de durable. Cependant, et ce n'était peut-être pas la voie la plus facile, j'ai appris que l'amour que je recherchais n'était pas dans les personnes mais dans l'amour pour Dieu, intime et profond, que j'avais déjà en moi. Lorsque j'ai commencé à comprendre cet amour-là, mes pensées au sujet du sexe et mes relations avec les autres se sont alignées graduellement sur ce sens de complétude, plutôt que d'être pleines de désir inassouvi.

Ce merveilleux processus s'est mis en place progressivement, fruit de la croissance spirituelle. Nombre d'entre nous ont eu une enfance difficile, et il arrive que nous ne nous sentions pas encore complets. Certaines personnes ont même pu vivre une expérience dure, comme le viol, et peuvent avoir l'impression d'avoir perdu leur pureté, le respect d'elles-mêmes ou le contrôle de leur vie.

Je trouve vraiment rassurante l'idée que personne ne peut en réalité prendre ou détruire vos qualités spirituelles. La tendresse, venant de Dieu, ne peut être dérobée par un acte physique. En étant à l'écoute, en comprenant notre identité spirituelle complète, nous nous retrouvons peu à peu en possession de nous-même, là où nul ne peut ajouter ou enlever à notre complétude spirituelle. Plus nous comprenons que nous sommes déjà complets, mieux nous savons nous aimer l'un l'autre.

Dans le premier chapitre de la Genèse, se trouve un passage que je considère comme faisant autorité dans ce domaine. Le voici: « Il [Dieu] les créa homme et femme. » (Genèse 1:27, d'après la Bible en français courant). Dieu nous ayant créés complets, nos pensées sont capables de manifester cet état. Nous avons en nous toutes les qualités masculines et féminines exprimables, telles que la force, la tendresse, etc.

Que répondez-vous à la question suivante: « Je me sens plutôt complet, mais je ne veux pas fermer les yeux sur mes besoins sexuels. Qu'est-ce que je dois en faire ? »

Personnellement, je trouve essentiel de me rappeler que je contrôle mes pensées et mes sentiments, parce que Dieu me donne la domination (le contrôle) sur mon corps. Je me sers de mon corps pour manifester le comportement le plus aimant et le plus adapté à chaque instant. Mon but, c'est d'offrir une image individuelle, unique, de ce qu'est Dieu. Je suis une manifestation de la nature de Dieu.

Les différentes problématiques en matière de sexualité rencontrées par les hommes et les femmes, jeunes et moins jeunes, sont individuelles, mais tous, nous cheminons pour découvrir le vrai sens de notre vie.

Dans Science et Santé Mary Baker Eddy écrit: « L'heure des penseurs a sonné. » (p. vii) Cette déclaration est forte ! Penser est le meilleur moyen d'arriver là où nous voulons. C'est comme le volant d'une voiture, qu'on ne lâche pas quand on va vite. Ainsi donc, même lorsqu'on a des rapports sexuels, je trouve qu'on n'a pas à cesser de penser, de se voir comme un individu complet.

C'est juste, mais ne pourrait-on pas vous répondre que les sensations sexuelles reposent sur des émotions et peuvent sembler difficiles à contrôler ?

Il m'arrive de lutter contre des sensations sexuelles intenses pour savoir qu'à cet instant, même pendant un rapport, je suis satisfaite, toute intelligence et dignité, et que je ne dois pas cesser de prier et d'affirmer ma complétude.

Des gens disent que nous sommes soit spirituels soit humains, mais que les deux ne se mélangent pas. Or j'ai appris que la beauté de la mission de Jésus consistait à nous montrer que l'Amour divin, cet Amour que nous appelons Dieu, vient à nous là où nous sommes et nous aide de façon concrète.

Que dites-vous à ceux qui ont l'impression d'avoir fait des choix qu'ils regrettent? Quelqu'un s'engage, en toute connaissance de cause, dans un rapport sexuel dangereux ou porteur de souffrance pour lui-même et autrui, mais ne semble pas pouvoir s'en empêcher. Est-il hors de portée de l'aide de Dieu ?

Non. Cela me rappelle l'histoire biblique de la femme surprise en train de commettre l'adultère. Précisons tout de suite que cette histoire n'est pas celle d'une punition, ni une leçon sur ce qui arrive quand on pèche. Elle montre en fait le pouvoir de l'amour qui se manifeste avant même qu'on observe un changement de comportement.

Cette femme a été prise en « flagrant délit », et on peut imaginer dans quelle tenue elle était ! Jésus se tenait à ses côtés, avec ses accusateurs, des hommes prêts à lui faire payer sa faute en la lapidant. Ce n'était pas une mince affaire, mais il a éliminé tous les sentiments de suffisance et de condamnation que ces hommes avaient dans leur cœur.

Les hommes sont repartis l'un après l'autre, et lorsque Jésus s'est retrouvé seul avec la femme, il lui a demandé: « Femme, où sont ceux qui t'accusaient ? Personne ne t'a-t-il condamnée ? », et elle a répondu: « Non, Seigneur. » Alors Jésus lui dit: « Je ne te condamne pas non plus; va, et ne pèche plus. » (Jean 8:3-11)

Je vois le péché comme un sens faussé de Dieu, et donc de nous-mêmes. Jésus a probablement montré à cette femme un sens d'amour si pur qu'elle ne souhaitait plus rien d'autre. Elle a alors dû se sentir parfaitement aimée et satisfaite. Mais le plus beau, c'est que l'amour-Christ est resté à ses côtés et l'a emmenée à la fois au-delà du péché et de ses conséquences.

Le Christ est présent auprès de nous à tout instant, auprès de ceux qui ont connu un divorce, une grossesse non désirée, des histoires douloureuses, la maladie, etc. Le Christ balaie toutes les conséquences. Ah, quelle merveilleuse pensée ! Il suffit que nous nous soyons tournés une fois vers la présence de l'Amour divin, ou le Christ, et que nous ayons ressenti son étreinte, pour que nous soyons capables de nous libérer des conséquences – de la souffrance – qu'une vision erronée de Dieu et de nous-mêmes peut engendrer.

C'est vraiment une belle idée, c'est là le Christ...

Oui, c'est bien le Christ, le Christ qui est toujours à nos côtés et ne nous quitte jamais. En permanence, il nous aime et nous montre la voie, que nous soyons ou non profondément absorbés dans une activité. Peu importe ce que nous avons fait ou ce qu'on nous a fait, il y a toujours un moyen d'effacer la douleur et la culpabilité. Je prie souvent en me basant sur cette déclaration de Mary Baker Eddy: « [...] à toute heure l'Amour divin dispense tout bien à l'humanité entière. » (Science et Santé, p. 494) Quelle que soit l'heure, et à tout moment, l'amour de Dieu est, et il a été, tout ce qui s'est réellement passé.

Arrêtons-nous un instant sur la question du mariage. Que se passe-t-il si les époux ont des conceptions divergentes sur la sexualité dans leur mariage ?

Dans le mariage, il arrive que l'un des conjoints ait l'impression de ne plus avoir besoin de sexe. Parfois, l'autre peut se sentir honteux de ses sentiments sexuels. Mais j'ai trouvé une réponse récemment, et j'ai commencé par en rire car elle me semblait inattendue.

Il s'agissait du verset de la Bible « résistez au diable, et il fuira loin de vous » (Jacques 4:7). Bien entendu, votre conjoint n'est pas le diable, car le « diable » n'est jamais l'autre personne ni ses besoins sexuels. C'est aux pensées diaboliques qu'il faut résister, à des pensées telles que la condamnation, l'indifférence aux besoins de l'autre, la suffisance, et ainsi de suite. Le diable est en fait ce qui essaie de nous séparer ou de nous diviser, c'est contre cela qu'il nous faut lutter.

Parfois des femmes, en particulier, peuvent arriver à un stade où elles ont tout simplement l'impression de ne plus avoir besoin de leur mari, sans doute parce qu'elles n'ont plus autant d'inclination sexuelle ou qu'elles pensent avoir la sécurité financière, que les enfants sont élevés, etc. Mais nous avons le droit d'éprouver un sentiment croissant d'amour l'un pour l'autre toute notre vie durant. Quand la pensée nous vient que nous avons dépassé notre conjoint en maturité ou que nous n'avons plus besoin de l'autre, ou encore que nous ne nous aimons plus, nous pouvons regarder au-delà de ces pensées égoïstes pour trouver un amour profond au-dedans de nous. Nous pouvons découvrir davantage la nature spirituelle, toujours vivante, nouvelle et réelle.

Mary Baker Eddy parle dans Science et Santé (p. 59) de renouveler les « beaux jours d'antan »; il est toujours possible d'être ensemble dans l'Amour divin, et pas simplement d'être amoureux.

Vous avez sans doute dû le prouver dans votre vie.

Tout à fait. Mon mari et moi sommes mariés depuis maintenant trente-huit ans et nous continuons de voir cet amour se renouveler à mesure que nous croissons en spiritualité. Toutefois, des sentiments de suffisance sont susceptibles de faire s'effondrer bien des mariages. Par exemple, une fois, quand mon mari m'a donné une petite tape sur le derrière, je me suis retournée vivement pour lui intimer d'arrêter. Il m'a regardée et m'a dit: « Comment ça ? Il faut que je retire ma main matérielle de ton postérieur spirituel ? » J'avais prié et me sentais véritablement bénie et spirituelle. Mais je ne l'avais pas inclus dans le tableau.

Je ne pouvais qu'en rire. Cela m'a vraiment réveillée. J'ai pris conscience que certes, je pouvais essayer d'être un moine spirituel, mais que ce n'est pas la façon d'exprimer l'amour. Nous sommes là pour prendre soin l'un de l'autre de toutes les façons possibles. « On ne devrait jamais se marier sans bien se rendre compte des obligations durables du mariage de part et d'autre », comme le souligne Science et Santé. (p. 59). Que nous soyons mariés ou non, nous sommes là pour aimer. Le mariage en est une promesse.

L'amour n'est pas juste cette idée puissante et élevée: l'amour est dans la chambre, dans la cuisine, dans la vie de nos enfants... Il « répond à tout besoin humain », y compris la sexualité. Si la Science Chrétienne n'était pas une religion pratique, elle ne vaudrait pas un clou !

Pouvez-vous commenter cette déclaration de Science et Santé: « La chasteté est le ciment de la civilisation et du progrès. Sans elle il n'y a pas de stabilité dans la société, et sans elle on ne peut atteindre à la Science de la Vie. » (p. 57) ?

La chasteté signifie en réalité pureté et perfection. Le ciment de toute relation est la chasteté qui la caractérise, sa pureté. Chasteté ne veut pas dire stagnation, mais pur désintéressement, le fait d'aimer de tout son cœur, car Dieu est Amour. Dieu est l'Amour même. Lorsque je fais face à des questions de sexe dans mon mariage, je me rappelle souvent que je suis là pour exprimer l'Amour dans cette relation. Comment puis-je l'exprimer au mieux ?

Être chaste ne concerne pas tant ce qu'on ne devrait pas faire qu'être tel que Dieu nous voit.

Imaginez que vous ayez un fabuleux diamant dans votre poche. Si votre meilleur ami, auquel vous faites confiance, est assis près de vous, vous souhaiterez le lui montrer. Pour moi, ce meilleur ami est mon conjoint. Chacun de nous est semblable à ce diamant: nous avons une grande valeur et sommes précieux aux yeux de Dieu.

La promesse du mariage est la meilleure chose que nous ayons, car le mariage est un engagement profond du cœur. La société tout entière doit contribuer à encourager et protéger cette promesse. Dans le mariage, nous pouvons croître spirituellement dès lors qu'il y a constance et amour profond de l'un envers l'autre. Le mariage dont la base est spirituelle approfondit les relations.

Selon moi le plus satisfaisant n'est pas d'avoir des relations sexuelles, mais une relation d'amour. Cela doit commencer dès le départ, avec Dieu, car Dieu est véritablement Tout, et nous ne pouvons pas nous aimer l'un l'autre sans l'amour de Dieu.

Comment quelqu'un peut-il savoir qu'il contrôle son corps, qu'il s'agisse de douleur ou de plaisir, et qu'il n'est pas l'esclave de ce qu'il semble éprouver ?

J'aime à me représenter que je suis comme une clé à molette dans la main de Dieu. Si je décide d'utiliser un outil pour resserrer quelque chose, il ne discute pas avec moi ou ne pose pas ses conditions. Voici ma prière: « Dieu, utilise-moi pour exprimer Ton amour. » Le corps n'est qu'un serviteur dans ce processus.

Ainsi, si des pensées ou des sentiments sexuels viennent me perturber au milieu de mes activités quotidiennes, j'ai le droit de m'arrêter pour leur dire mentalement: « Non, taisez-vous ! » Au moment même où arrivent certaines de ces pensées incontrôlables, je peux affirmer ma capacité à penser clairement tout le jour durant. C'est ainsi que j'exprime mon sens de contrôle.

Il y a tant de choses à évoquer sur le sujet et nous ne pouvons de toute évidence pas tout couvrir. Mais aimeriez-vous nous donner quelques idées en conclusion ?

J'aimerais simplement dire combien il est important de nous autoriser nous-mêmes à inclure Dieu dans toutes nos pensées intimes, ce qui nous apporte une meilleure conception d'autrui et de nous-mêmes. Découvrir les possibilités de l'amour est un merveilleux voyage, un éveil au royaume des cieux au-dedans et en dehors de nous. Il n'existe pas de plus bel amour que le paradis ici même. Tel est tout le sujet de la Bible: trouver un amour profond et durable. La vie de Jésus nous montre comment aimer et être aimé.

J'aime à penser que la Science Chrétienne n'est pas une religion d'interdits, c'est un mode de pensée qui nous dit: « Regarde comme tu es merveilleux ! » Elle nous montre à quel point nous sommes « en Amour » à chaque instant. Et dans ce sentiment d'amour, nous savons nous aimer les uns les autres, tout naturellement.

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