Un après-midi, l'année dernière, je faisais des tours de piste au stade avec mon amie Sophie, pendant le cours d'éducation physique. Sophie m'a dit qu'elle avait très mal à la tête. Elle savait que j'étais scientiste chrétienne et que je prie quand j'ai besoin de me guérir. Nous avions déjà parlé ensemble des guérisons que j'ai eues.
Comme Sophie n'avait pas de médicaments sur elle, elle m'a demandé, tout d'abord en plaisantant, si je ne pouvais pas prier pour elle. J'ai dit oui et je me suis mise à prier silencieusement. Mais elle voulait vraiment savoir ce que je pensais, alors elle m'a demandé de le faire à haute voix.
Tout de suite, je me suis souvenue de quelques idées dont on avait parlé à l'école du dimanche de la Science Chrétienne. Nous disons souvent que nous sommes toujours en la présence d'un Dieu entièrement bon qui prend soin de nous et nous garde en bonne santé. Mary Baker Eddy a écrit dans Science et Santé: « Parce que la Vérité est infinie, on devrait reconnaître que l'erreur n'est rien. » (p. 367) La Vérité est un nom pour Dieu. J'ai parlé à Sophie de cette idée: la douleur qu'elle ressentait était une « erreur » sur sa vraie identité de reflet de Dieu. Elle n'avait pas besoin d'accepter la douleur parce qu'elle ne venait pas de Dieu.
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