La Bible parle constamment de transformation personnelle et spirituelle. En effet, les Écritures hébraïques et le Nouveau Testament comprennent tous les deux de nombreux récits dans lesquels les gens et les situations se transforment, passant du désespoir au triomphe. Les Pâque chrétiennes et la Pâque juive en sont d'excellentes illustrations.
Pâques, la fête qui commémore la résurrection de Jésus, est sans doute l'exemple biblique le plus fort de la façon dont le pouvoir divin éleva Jésus et ainsi transforma le monde. D'après les quatre Évangiles, Jésus fut crucifié la veille du sabbat juif, autrement dit un vendredi, le dernier jour de la semaine. Il ressuscita « le matin du premier jour de la semaine maine » (voir Marc 16:9), c'est-à-dire un dimanche, et retrouva ses disciples.
Une étude du contexte dans lequel les Évangiles furent écrits montre que les premiers chrétiens, peu à peu, comprirent et apprirent à communiquer la portée de cet événement remarquable. L'Évangile selon Marc qui, d'après de nombreux spécialistes, fut le premier à avoir été écrit, s'arrêtait probablement à l'origine au tombeau vide, c'est-à-dire au verset 8 du chapitre 16. L'Évangile selon Jean, rédigé en dernier, présente le récit le plus complet des rencontres entre le Sauveur ressuscité et ses disciples.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !