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Une blessure guérie grâce à l’Amour divin

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de novembre 2004


Un de mes amis avait un carreau cassé à sa fenêtre et je lui ai proposé de l’aider à le changer.

Pour cela, je devais retirer le verre cassé du cadre de la fenêtre et je me suis dit que j’allais emporter les gants pour gros travaux que j’avais chez moi. Mais une fois arrivé chez mon ami, j’ai oublié les gants dans la voiture. Lorsque j’ai commencé à enlever le mastic pour pouvoir retirer les nombreux morceaux de verre coupants qui tenaient encore, j’ai pensé aux gants restés dans la voiture. Mais comme je ne faisais que « préparer » le travail, je ne suis pas allé les chercher tout de suite. Puis mon tournevis a glissé et ma main gauche a violemment heurté un morceau de verre, ce qui a causé une profonde entaille à la phalange de mon index.

Pendant que je lavais et bandais mon doigt, de nombreuses pensées ont afflué dans ma conscience. J’ai regretté d’avoir ignoré l’idée qui me m’avait incité à utiliser les gants. J’ai réalisé que c’était Dieu qui m’avait envoyé cette idée, Dieu, l’Entendement divin, qui nous guide et nous incite toujours à adopter un comportement sensé. Et le fait de ne pas avoir utilisé le gants n’était pas particulièrement malin de ma part.

J’avais confiance dans le fait que cette blessure serait guérie sans souffrance.

Mais cela, c’était le passé, et j’avais besoin de comprendre maintenant que Dieu était Amour et que personne ne pouvait et fin de compte être puni pour avoir tenté d’aider quelqu’un d’autre. Comme le dit Science et Santé: « Tout ce qu’il est de votre devoir de faire, vous pouvez le faire sans que cela vous nuise. S’il vous arrive de vous froisser un muscle ou de vous blesser, le remède est à votre portée. C’est l’entendement qui décide si, oui ou non, la chair sera meurtrie, douloureuse, enflée ou enflammée. » (p. 385)

Je me suis aussi souvenu de cette remarque de Mary Baker Eddy concernant Jésus, qui, alors qu’il était dans le sépulcre, « n’eut pas besoin de l’art d’un chirurgien » (p. 44) pour guérir et panser les plaies infligées par la crucifixion. Je ne me considérais en aucune manière comme l’égal de Jésus, mais je savais que je pouvais utiliser ce même pouvoir spirituel qui a sa source en Dieu. J’avais une véritable confiance dans le fait que cette blessure serait guérie sans souffrance et sans que je ressente de gêne. Cette confiance me venait des nombreux cas où j’avais mis en pratique avec succès les règles de la guérison spirituelle contenues dans Science et Santé.

Je savais que Dieu prend soin de chacun de nous et répand sur nous chaque jour Sa grâce, le réconfort, la guérison. Il ne cesse jamais d’être notre Père-Mère. Dieu est notre Entendement et notre Vie. Je savais donc que je pouvais compter sur Lui pour prendre soin de moi dans cette situation.

Lorsque j’ai changé mon pansement le matin suivant, j’ai constaté que la blessure était en train de se refermer. Deux jours plus tard, j’ai enlevé le bandage. Pendant tout ce temps, j’ai pu me servir de ma main sans problème et vaquer normalement aux travaux de la maison. J’ai joué du piano, soulevé des haltères en faisant mes exercices habituels de musculation et effectué de multiples autres actions que nous accomplissons quotidiennement avec nos mains.


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