Des millions de femmes, sans compter le corps médical dans son ensemble, ont été profondément troublés d'apprendre, par une étude faite récemment sur l'hormonothérapie substitutive (HTS), que ce traitement augmentait les risques de maladie chez certaines patientes.
La couverture de Time magazine posait une question difficile aux « 40% des femmes qui vivent aux États-Unis » et qui ont recours à l'HTS pendant la ménopause. En grosses lettres de couleur, on lisait: « L'hormonothérapie substitutive plus dangereuse que prévu. Que peut bien faire une femme ? »
Mon cœur de femme s'émeut en pensant à celles qui se débattent à la fois avec les symptômes et le traitement de la ménopause. Pourtant, je sais que la réponse à la question « Que peut bien faire une femme ? » ne comporte pas forcément de risques. Elle peut être spirituelle.
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