Il y a quelque temps, je lisais les résultats d’une étude qui a suivi l’évolution de quatre-vingt-sept étudiants de Harvard pendant une trentaine d’années après l’université. Cette étude avait pris en considération leur état de santé et la perception qu’ils avaient d’être aimés de leurs parents.
Ceux qui avaient déclaré à vingt ans se sentir aimés étaient en bien meilleure santé à l’âge de cinquantecinq ans que ceux qui ne s’étaient pas sentis aimés. Parmi ces derniers, une grande majorité ont dû être traités plus tard pour de graves problèmes physiques.
Ce genre d’étude est un rappel à l’ordre : nous redécouvrons combien il est important que, malgré le rythme frénétique de la vie de famille, les enfants se sentent aimés. Mais qu’en est-il des adultes qui considèrent ne pas avoir reçu beaucoup d’amour quand ils étaient petits, qui pensent qu’un vide affectif a façonné leur existence et qu’ils en souffrent?
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