Venez, vous qui êtes bénis
de mon Père...
j'ai eu faim, et vous m'avez
donné à manger ;
j'ai eu soif, et vous m'avez
donné à boire ;
j'étais étranger, et vous m'avez recueilli ;
j'etais nu, et vous m'avez vêtu ;
j'étais malade, et
vous m'avez visité... (Matth. 25:34–36)
J'ai souvent réfléchi à cette dernière phrase prononcée par Jésus, « j'étais malade, et vous m'avez visité », qui implique que cela fait partie intégrante d'un ministère plein de compassion. A plusieurs reprises, Jésus enjoignit à ses disciples de guérir les malades. Alors je me suis demandé pourquoi, dans ce cas précis, il parla de « visiter » au lieu de « guérir ». Lui-même guérissait les malades rapidement et complètement – dès la première rencontre et parfois à distance. Je me suis donc demandé s'il faisait allusion à ceux dont la guérison vient plus lentement.
Leur rendre visite est un moyen essentiel de faire sentir aux gens l'amour de Dieu. Puisque l'Amour divin est le pouvoir qui guérit les malades, visiter les malades favorise la guérison. Même si on ne vous a pas demandé de prier pour quelqu'un, vous pouvez lui apporter votre soutien avec compassion et tendresse. A mes yeux, il y a une différence entre pitié et compassion. La pitié va compatir avec la tristesse ou la faire naître, alors que la compassion est une manifestation d'affection tout en élevant les yeux avec confiance vers les cieux.
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