Mon mari et moi étions mariés depuis de nombreuses années, mais nous n'avions pas d'enfants. J'étais toujours heureuse de passer du temps avec mes nièces, mais avoir nos propres enfants semblait être un but impossible à atteindre.
Lorsqu'une amie, très innocemment, fit remarquer qu'à son avis seule une mère était vraiment capable de saisir la profondeur du poème de Mary Baker Eddy, « Prière du soir de "Mère" » (voir Écrits divers, p. 389), je me suis sentie privée de quelques chose. Outre ce sentiment d'être limitée, la croyance selon laquelle mon « horloge biologique » s'usait devait aussi être chassée.
Avant de me marier, j'avais suivi le cours de Christian Science, et cela m'avait permis d'adopter la position spirituelle élevée qui profiterait à notre mariage. Pendant les années qui ont suivi, j'ai étudié avec gratitude les Leçons bibliques hebdomadaires, lisant les passages tirés de la Bible et de Science et Santé indiqués dans le Livret trimestriel de la Christian Science. J'ai aussi appris à beaucoup mieux apprécier les autres œuvres de Mary Baker Eddy. Le concept erroné que j'avais de moi-même prétendant que j'étais limitée a laissé place à un meilleur concept de mon être en tant qu'enfant de Dieu, possédant le riche héritage de Sa bonté infinie. Mon mari, ayant adopté les enseignements de la Christian Science, gardait constamment à l'esprit, avec douceur et calme, que nous ne pouvions pas être privés du déroulement harmonieux et légitime d'un concept complet de la famille.
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